Le cinéma égyptien a perdu samedi l’un de ses monstres sacrés, l’acteur Mahmoud Morsi, terrassé par une crise cardiaque à l’âge de 81 ans. Il avait notamment campé le rôle du « dictateur intégral », Atris, dans le film « Quelque chose comme la peur », tiré de l’oeuvre de l’écrivain égyptien Sarwat Abaza, féroce critique des dictatures arabes. Il avait aussi tenu le...
Actualités - CHRONOLOGIE
Cinéma L’Égypte perd Mahmoud Morsi, l’un de ses monstres sacrés (photo)
le 26 avril 2004 à 00h00
Le cinéma égyptien a perdu samedi l’un de ses monstres sacrés, l’acteur Mahmoud Morsi, terrassé par une crise cardiaque à l’âge de 81 ans. Il avait notamment campé le rôle du « dictateur intégral », Atris, dans le film « Quelque chose comme la peur », tiré de l’oeuvre de l’écrivain égyptien Sarwat Abaza, féroce critique des dictatures arabes. Il avait aussi tenu le rôle d’un sergent dans « Chant dans un couloir », l’un des premiers films égyptiens évoquant la défaite de juin 1967 face à Israël. Son premier film, « Le Fugitif », en 1963, fut un succès populaire et marqua le début d’une longue carrière cinématographique.
Le cinéma égyptien a perdu samedi l’un de ses monstres sacrés, l’acteur Mahmoud Morsi, terrassé par une crise cardiaque à l’âge de 81 ans. Il avait notamment campé le rôle du « dictateur intégral », Atris, dans le film « Quelque chose comme la peur », tiré de l’oeuvre de l’écrivain égyptien Sarwat Abaza, féroce critique des dictatures arabes. Il avait aussi tenu le...
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