« C’est un premier pas qui vient rompre l’indifférence affichée par l’État depuis des années. C’est une main que l’on nous tend et nous voulons le dialogue, mais nous ne pouvons pas nous enivrer d’un raisin », a dit hier le président de la Ligue des professeurs à plein-temps de l’Université libanaise, Charbel Kfoury, interrogé par L’Orient-Le Jour.
En gros, la situation est on ne peut plus simple. Les professeurs de l’UL continueront leur grève ouverte et poursuivront l’escalade jusqu’au bout, malgré « la main tendue » par l’État. En effet, Rafic Hariri, Fouad Siniora et Samir el-Jsir ont décidé de proposer au prochain Conseil des ministres de donner satisfaction à cinq revendications professorales. « Il y a des points d’interrogation sur chacune d’entre elles », a affirmé Charbel Kfoury, qui les a démontées une par une, non sans avoir indiqué qu’une réunion allait regrouper « au plus tôt » la Ligue de l’UL et le ministre de l’Enseignement supérieur.
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« C’est un premier pas qui vient rompre l’indifférence affichée par l’État depuis des années. C’est une main que l’on nous tend et nous voulons le dialogue, mais nous ne pouvons pas nous enivrer d’un raisin », a dit hier le président de la Ligue des professeurs à plein-temps de l’Université libanaise, Charbel Kfoury, interrogé par L’Orient-Le Jour.En gros, la...
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