Le premier juge d’instruction de Beyrouth, Hatem Madi, a requis une peine de trois à six ans de prison contre Ibrahim Abou Ayache pour escroquerie contre le plaignant, Ziad Hamad, qui a retiré sa plainte.
Dans les faits, Hamad avait contracté un emprunt de 50 636 dollars américains auprès de la United Credit Bank. Incapable de le rembourser, il avait proposé à la banque de lui céder un bien-fonds d’une valeur de 150 000 dollars situé à Bchamoun à condition que la banque lui reverse le solde.
Abou Ayache avait alors enregistré le bien-fonds en son nom, refusant de verser le solde à son ancien débiteur.
Plus tard, au cours du procès, un accord à l’amiable avait été conclu et Hamad avait retiré sa plainte.
Entre-temps, Abou Ayache a soumis au juge d’instruction une demande de remise en liberté dans deux affaires d’escroquerie et de chèque sans provision l’opposant respectivement à Jean Nassif et Izzat Kaddoura. M. Madi a transmis la demande aux deux plaignants pour avis.
D’autre part, M. Madi a décidé de reporter au 10 novembre les audiences dans les procès suivants : Jean Assi contre Rana Koleilate et Ibrahim Abou Ayache, pour escroquerie ; Rana Koleilate et René Moawad contre Roula Soueid ; Izzat Kaddoura contre Adnane et Ibrahim Abou Ayache, pour émission de chèque sans provision ; Saleh Madi contre Adnane et Ibrahim Abou Ayache, pour émission d’un chèque sans provision pour dix millions de dollars ; Roula Soueid contre Ibrahim et Adnane Abou Ayache, pour escroquerie ; Ismaïl Bazzi contre Joumana Abdel Baki et Rana Koleilate, pour escroquerie ; Izzat Kaddoura contre la banque al-Madina, pour faux et usage de faux.
Dans les faits, Hamad avait contracté un emprunt de 50 636 dollars américains auprès de la United Credit Bank. Incapable de le rembourser, il avait proposé à la banque de lui céder un bien-fonds d’une valeur de 150 000 dollars situé à Bchamoun à condition que la banque lui reverse le solde.
Abou Ayache avait alors enregistré le bien-fonds en son nom, refusant de verser le solde à son ancien débiteur.
Plus tard, au cours du procès, un accord à l’amiable avait été conclu et Hamad avait retiré sa plainte.
Entre-temps, Abou Ayache a soumis au juge d’instruction une demande de remise en liberté dans deux affaires d’escroquerie et de chèque sans provision l’opposant respectivement à Jean Nassif et Izzat Kaddoura. M. Madi a transmis la demande aux deux plaignants pour avis.
D’autre part, M. Madi a décidé de reporter au 10 novembre les audiences dans les procès suivants : Jean Assi contre Rana Koleilate et Ibrahim Abou Ayache, pour escroquerie ; Rana Koleilate et René Moawad contre Roula Soueid ; Izzat Kaddoura contre Adnane et Ibrahim Abou Ayache, pour émission de chèque sans provision ; Saleh Madi contre Adnane et Ibrahim Abou Ayache, pour émission d’un chèque sans provision pour dix millions de dollars ; Roula Soueid contre Ibrahim et Adnane Abou Ayache, pour escroquerie ; Ismaïl Bazzi contre Joumana Abdel Baki et Rana Koleilate, pour escroquerie ; Izzat Kaddoura contre la banque al-Madina, pour faux et usage de faux.
Le premier juge d’instruction de Beyrouth, Hatem Madi, a requis une peine de trois à six ans de prison contre Ibrahim Abou Ayache pour escroquerie contre le plaignant, Ziad Hamad, qui a retiré sa plainte.Dans les faits, Hamad avait contracté un emprunt de 50 636 dollars américains auprès de la United Credit Bank. Incapable de le rembourser, il avait proposé à la banque de lui...
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