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Précisions sur les 110 milliards de livres

Les 110 milliards de livres allouées au CDR dans le nouveau projet de budget représentent la part de l’État dans le financement d’un certain nombre de projets par des États ou des organismes de crédit internationaux, a affirmé hier le député Adnan Arakji, membre du bloc parlementaire de Rafic Hariri.
Les projets, a précisé M. Arakji, sont soumis aux pays ou fonds créditeurs éventuels. Une fois adoptés, ces derniers escomptent que le pays demandeur finance à concurrence de 10 à 30 %, selon les cas, le projet en question, sans parler des expropriations nécessaires. Le pays créditeur assure les fonds restants sous forme de crédits à long terme et à faible taux d’intérêt.
À en juger par le montant représentant la quote-part du Liban (110 milliards de livres), les crédits dont dispose le Liban s’élèveraient à plus d’un milliard de dollars, a précisé M. Arakji.
Selon le député, ces fonds peuvent créer des centaines d’emplois, sans parler de leur rationalité économique. Par contre, faute de les utiliser à temps, ces crédits mis à la disposition du Liban pourraient être accordés à d’autres pays.
M. Arakji a précisé que la plus grande partie des projets figurant sur la liste du CDR (47 %) vont au Liban-Nord et que Beyrouth n’en bénéficie que dans une proportion de 7 %.
Les 110 milliards de livres allouées au CDR dans le nouveau projet de budget représentent la part de l’État dans le financement d’un certain nombre de projets par des États ou des organismes de crédit internationaux, a affirmé hier le député Adnan Arakji, membre du bloc parlementaire de Rafic Hariri.Les projets, a précisé M. Arakji, sont soumis aux pays ou fonds...