La création de cette entité, annoncée formellement lundi, est interprétée par la presse comme un moyen pour la Maison-Blanche de rétablir son autorité directe sur les opérations en Irak en diminuant ainsi l’autorité du secrétaire à la Défense.
Dans un entretien publié hier par le Financial Times, Donald Rumsfeld a admis ne pas avoir été prévenu à l’avance de la décision du président. « Je vous l’ai déjà dit : je ne sais pas. Nous n’avez pas compris ? Vous ne comprenez pas l’anglais ? Je n’étais pas là pour l’entretien », a-t-il répondu sèchement aux journalistes qui participaient à l’interview.
En Irak, et alors que les attaques contre la coalition se poursuivent à un rythme soutenu, l’armée US a annoncé hier avoir arrêté 112 personnes dans les rangs de la résistance, dont un important général, lors d’un raid mené dimanche près de la frontière syrienne, dans la province d’al-Anbar.
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