« Le budget est l’arme financière du pouvoir et le miroir de sa politique. Quand le gouvernement, et par conséquent le pouvoir, ne peut que rééditer le budget de l’année dernière, et s’abstient d’avancer de nouvelles idées et de nouveaux projets, il ne fait qu’admettre son incapacité à offrir des solutions aux problèmes dans lesquels se débat le pays, ce qui équivaut à une démission implicite », a ajouté M. Lahoud.
Selon le député du Metn, « nous n’avons pas besoin, aujourd’hui, de tiraillements qui paralysent l’action de l’État, pas plus que d’un “lavage des cœurs” destiné à faciliter l’accès aux privilèges, mais bel et bien d’un rapprochement véritable et courageux qui admette la réalité du problème et invite les Libanais à participer à la solution ».
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