Le dossier de l’EDL a été au centre de la rencontre hebdomadaire du chef de l’État avec le chef du Législatif, à Baabda.
« Il est temps de demander des comptes, a déclaré M. Berry à sa sortie. J’ai été ministre des Ressources hydroélectriques avant l’accord de Taëf, et je puis dire que la situation générale, en ce qui concerne le courant électrique, était meilleure qu’aujourd’hui. Je trouve donc indispensable de demander des comptes et de regarder un peu en arrière dans ce domaine. »
M. Berry a jugé également « inadmissible que l’on parle aujourd’hui d’avances du Trésor ou d’impôts et de taxes ». En 1994, a-t-il rappelé en substance, une crise énergétique avait éclaté et l’on avait avancé les mêmes arguments que ceux que nous entendons aujourd’hui. Le Parlement a alors voté une loi assimilant les branchements illégaux à des délits. Pourquoi ne l’a-t-on pas appliquée ?
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