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Festival de Beiteddine L’éblouissante maestria de Nigel Kennedy(photo)
le 14 août 2003 à 00h00
Un violoniste atypique et hors pair, alliant vivacité, agilité, virtuosité et du tempérament à revendre ! Accompagné par l’orchestre de chambre polonais, Nigel Kennedy, dans une éblouissante maestria et une performance à couper le souffle, avant de passer demain soir aux prouesses d’une musique moderne contemporaine en jouant du Jimi Hendrix, a donné la pleine mesure d’un talent exceptionnel en interprétant des pages de Bach et de Vivaldi. Naviguant avec bonheur depuis déjà de nombreuses années entre le rock, le jazz et le classique (dont ici, dans la cour intérieure de Beiteddine, une prestation plus que remarquable), Nigel Kennedy est absolument fidèle à l’image qu’il s’est taillée : un artiste au talent immense, doté d’un humour british décapant, farouchement anticonformiste et attachant.
Un violoniste atypique et hors pair, alliant vivacité, agilité, virtuosité et du tempérament à revendre ! Accompagné par l’orchestre de chambre polonais, Nigel Kennedy, dans une éblouissante maestria et une performance à couper le souffle, avant de passer demain soir aux prouesses d’une musique moderne contemporaine en jouant du Jimi Hendrix, a donné la pleine mesure...
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