Le patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, sera reçu aujourd’hui à Paris, par le président français, Jacques Chirac, au premier jour de sa tournée européenne qu’il veut aussi politique.
Le patriarche a en effet donné le ton, hier, avant son départ en affirmant qu’il soulèverait des questions intéressant le Liban, lors de ses entretiens avec les responsables européens. Il doit être reçu le 27 octobre par le chancelier allemand Gerhard Schröder.
Les rapports libano-syriens seront sans doute à l’ordre du jour de ses entretiens. Avant son départ, Mgr Sfeir a de nouveau plaidé en faveur de relations de bon voisinage entre Beyrouth et Damas, dans le respect de la souveraineté, l’indépendance et la liberté de décision de chacun des deux pays.
Le patriarche a en effet donné le ton, hier, avant son départ en affirmant qu’il soulèverait des questions intéressant le Liban, lors de ses entretiens avec les responsables européens. Il doit être reçu le 27 octobre par le chancelier allemand Gerhard Schröder.
Les rapports libano-syriens seront sans doute à l’ordre du jour de ses entretiens. Avant son départ, Mgr Sfeir a de nouveau plaidé en faveur de relations de bon voisinage entre Beyrouth et Damas, dans le respect de la souveraineté, l’indépendance et la liberté de décision de chacun des deux pays.
Le patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, sera reçu aujourd’hui à Paris, par le président français, Jacques Chirac, au premier jour de sa tournée européenne qu’il veut aussi politique.Le patriarche a en effet donné le ton, hier, avant son départ en affirmant qu’il soulèverait des questions intéressant le Liban, lors de ses entretiens avec les responsables...
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