Le projet « Etude environnementale stratégique et planification de l’utilisation des sols au Liban » a été lancé hier à l’Ordre des ingénieurs et des architectes, en présence notamment du ministre de l’Environnement, Farès Boueiz, du coordinateur résident des Nations unies, Yves De San, du président du Conseil du développement et de la reconstruction, Jamal Itani, et de Patrick Trolliet, représentant de l’ambassadeur Patrick Renauld.
Le projet vise à mettre en place des politiques environnementales et des programmes sur le plan national à travers l’application d’une étude stratégique en vue d’alléger les problèmes majeurs qui entravent le développement durable au Liban.
L’étude environnementale stratégique est un processus systématique pour identifier les conséquences futures des politiques, stratégies, programmes et plans d’action publics.
Le projet présente deux caractéristiques spécifiques, a affirmé M. Trolliet : d’une part, il s’inscrit dans la droite ligne du « Plan d’action pour la Méditerranée » qui vise à promouvoir un développement durable dans la région. Et d’autre part, il a un caractère préventif.
« Nous savons combien il est difficile de réparer les dégâts causés par une pression trop forte sur les ressources naturelles. L’ambition du présent projet est de mettre en place une politique d’évaluation préalable des risques environnementaux et d’établir une planification pour l’utilisation des sols, prenant en compte les risques potentiels », a-t-il indiqué.
Pour M. Trolliet, « toute opération de planification d’utilisation des sols doit se baser sur un plan des sols, qui permet de définir et classer, selon leurs vocations naturelles, leur situation régionale ou leurs qualités intrinsèques ». Un plan qui n’existe pas à l’heure actuelle. Il est toutefois en préparation et ne sera présenté que d’ici à quelques semaines. D’où la nécessité d’une approbation rapide de ce document par le ministère concerné, a conclu M. Trolliet.
Cofinancé par l’Union européenne dans le cadre de son programme « Life-Pays tiers », le ministère de l’Environnement et le Pnud pour un montant total de 430 000 euros, le projet sera mis en œuvre par le Pnud et le ministère compétent.
Le projet vise à mettre en place des politiques environnementales et des programmes sur le plan national à travers l’application d’une étude stratégique en vue d’alléger les problèmes majeurs qui entravent le développement durable au Liban.
L’étude environnementale stratégique est un processus systématique pour identifier les conséquences futures des politiques, stratégies, programmes et plans d’action publics.
Le projet présente deux caractéristiques spécifiques, a affirmé M. Trolliet : d’une part, il s’inscrit dans la droite ligne du « Plan d’action pour la Méditerranée » qui vise à promouvoir un développement durable dans la région. Et d’autre part, il a un caractère préventif.
« Nous savons combien il est difficile de réparer les dégâts causés par une pression trop forte sur les ressources naturelles. L’ambition du présent projet est de mettre en place une politique d’évaluation préalable des risques environnementaux et d’établir une planification pour l’utilisation des sols, prenant en compte les risques potentiels », a-t-il indiqué.
Pour M. Trolliet, « toute opération de planification d’utilisation des sols doit se baser sur un plan des sols, qui permet de définir et classer, selon leurs vocations naturelles, leur situation régionale ou leurs qualités intrinsèques ». Un plan qui n’existe pas à l’heure actuelle. Il est toutefois en préparation et ne sera présenté que d’ici à quelques semaines. D’où la nécessité d’une approbation rapide de ce document par le ministère concerné, a conclu M. Trolliet.
Cofinancé par l’Union européenne dans le cadre de son programme « Life-Pays tiers », le ministère de l’Environnement et le Pnud pour un montant total de 430 000 euros, le projet sera mis en œuvre par le Pnud et le ministère compétent.
Le projet « Etude environnementale stratégique et planification de l’utilisation des sols au Liban » a été lancé hier à l’Ordre des ingénieurs et des architectes, en présence notamment du ministre de l’Environnement, Farès Boueiz, du coordinateur résident des Nations unies, Yves De San, du président du Conseil du développement et de la reconstruction, Jamal Itani, et...
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