Il y a plusieurs marchés disponibles en Irak, a affirmé le diplomate. Le premier est le marché représenté par les forces armées américaines et britanniques. Des Libanais sont parvenus à décrocher certains de ces contrats (papier serviette, coutellerie en plastique), a-t-il précisé.
Toutefois, a ajouté M. Battle, le marché de la reconstruction est réservé aux sociétés américaines. Mais, a-t-il tout de suite enchaîné, il n’existe aucune restriction sur le choix de leurs partenaires et sous-contractants.
M. Battle a donné raison au Premier ministre, qui a considéré que le marché libre des investissements en Irak est encore ambigu, puisque ce pays passe d’une économie dirigée à une économie libre. Mais il s’est déclaré certain que les investisseurs libanais sauront naviguer dans ces eaux.
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