Depuis Taëf jusqu’aujourd’hui, les gouvernements successifs se sont tous engagés à réaliser cette réforme et lui ont consacré, chacun, un chapitre dans leurs déclarations ministérielles, sans jamais pouvoir tenir leurs promesses, pour des raisons que nul n’ignore.
Aujourd’hui, le ministère d’État pour le Développement administratif envisage de s’attaquer à ce dossier. En août, un projet de réforme sera présenté, a annoncé M. Karim Pakradouni, sur le perron du siège patriarcal de Dimane. Son objectif : soustraire les services publics à l’influence des hommes politiques et combattre la corruption « comme on combat le terrorisme ». Aura-t-il cependant les moyens de sa politique ?
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