Dans un discours prononcé à l’occasion, le père Hage a rendu un vibrant hommage à celui qu’il a qualifié de « plus grand chanteur du monde arabophone ».
Pour le père Hage, Wadih as-Safi est « un véritable intermédiaire entre le monde des musulmans et celui des chrétiens ».
« Avec une voix unique par sa beauté et sa technique et après une carrière musicale des plus brillantes, il se consacre depuis une dizaine d’années à la composition et à l’interprétation des chants religieux qui sont écoutés non seulement par les chrétiens, mais également par une centaine de millions de musulmans », a poursuivi le père Hage.
« Sa voix, d’une étendue exceptionnelle couvrant presque les deux registres du ténor et de la basse, touche aussi l’extrême de la douceur et de la force. Sa compétence musicale, qui apparaît surtout dans l’improvisation et la modulation, complète une oreille absolue et une précision mélodique phénoménale et infaillible. En un mot, c’est un musicien accompli », a-t-il conclu.
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