Actualités - CONFERENCES DE PRESSE
Abou Rizk critique le pouvoir
le 30 août 2000 à 00h00
Le président de la Confédération générale des travailleurs du Liban (CGTL), Élias Abou Rizk, candidat au siège grec-orthodoxe de Marjeyoun, a critiqué hier les «responsables politiques qui déchirent nos photos et gardent les leurs» et qui «critiquent les décisions du gouvernement alors qu’ils y ont eux-mêmes participé». Au cours d’une conférence de presse donnée hier au siège de l’Ordre de la presse, M. Abou Rizk a exigé «un minimum de justice au niveau de la répartition des apparitions médiatiques en période d’élections» et réclamé qu’on compte uniquement «les bulletins de vote à l’intérieur des urnes». M. Abou Rizk a dénoncé «la campagne contre les habitants du Liban-Sud : utilisation des appareils sécuritaires de l’État au profit de certains candidats du pouvoir, pressions sur les notables pris en otages, notamment ceux des villages libérés». Et d’ajouter : «Il est étonnant qu’on ne dépoussière les projets de développement que tous les quatre ans, alors qu’ils sont exécutés avec l’argent du contribuable. Les sudistes courageux qui ont héroïquement libéré leurs terres se libéreront aussi de l’hégémonie, de l’esclavage et des candidats imposés et parachutés».
Le président de la Confédération générale des travailleurs du Liban (CGTL), Élias Abou Rizk, candidat au siège grec-orthodoxe de Marjeyoun, a critiqué hier les «responsables politiques qui déchirent nos photos et gardent les leurs» et qui «critiquent les décisions du gouvernement alors qu’ils y ont eux-mêmes participé». Au cours d’une conférence de presse donnée...
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