Promesses officielles non tenues, délais interminables entre les prises de décision et l’exécution sur le terrain, laxisme généralisé des pouvoirs publics... C’était plus qu’il ne fallait pour l’Association des développeurs de logiciels (BSA) pour passer à l’acte et exhorter les autorités, notamment le ministère de l’Économie, à en faire autant. Depuis décembre 1999, plusieurs plaintes ont été déposées contre des commerçants, accusés de mettre sur le marché des programmes informatiques piratés. Une descente de police a même été ordonnée chez l’un d’entre eux. Il a été interpellé, interrogé et son matériel saisi. Mais la BSA, qui veut parallèlement agir contre les entreprises qui utilisent des logiciels acquis illégalement, reproche aux autorités leur inaction et affirme que si d’ici à deux ou trois mois rien n’est entrepris dans ce domaine, plusieurs sociétés spécialisées dans les technologies de l’information pourraient envisager de cesser leurs activités au Liban.
Promesses officielles non tenues, délais interminables entre les prises de décision et l’exécution sur le terrain, laxisme généralisé des pouvoirs publics... C’était plus qu’il ne fallait pour l’Association des développeurs de logiciels (BSA) pour passer à l’acte et exhorter les autorités, notamment le ministère de l’Économie, à en faire autant. Depuis...
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