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Actualités - CHRONOLOGIE

Médias - Les assurances officielles ne rassurent pas l’opinion publique Contre l’audiovisuel, une répression qui ne veut pas dire son nom

Ghazi Aridi a beau marteler depuis trois jours que « personne ne prend pour cible les médias au Liban » et qu’il faut que tout se fasse « sous l’ombrelle de la loi qui, je vous le dis, protège les libertés publiques, individuelles, médiatiques », rien n’y fait. Impossible d’adhérer à cette version par trop officielle. Il y a quelques jours, une source ministérielle déclarait à L’Orient-Le Jour que « la LBC n’est qu’un paravent. C’est la MTV qui est surtout visée ». Effectivement, cette dernière n’a pas tardé à tomber, après sa consœur, sous le coup de la loi. Hier, une source autorisée à la MTV parlait d’une décision « éminemment politique ». Et le ministre de l’Information avouait tout ignorer des poursuites engagées contre la MTV. Quant aux Libanais, ils regardent impuissants leur État fouler aux pieds, de nouveau, un principe de base suivi par les pays civilisés : la liberté de ses médias. PAGES 2, 3 ET 4
Ghazi Aridi a beau marteler depuis trois jours que « personne ne prend pour cible les médias au Liban » et qu’il faut que tout se fasse « sous l’ombrelle de la loi qui, je vous le dis, protège les libertés publiques, individuelles, médiatiques », rien n’y fait. Impossible d’adhérer à cette version par trop officielle. Il y a quelques jours, une source ministérielle...