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Santé - La sempiternelle question des arriérés Les hôpitaux privés frappent à la porte du chef du gouvernement

Recevant le président du syndicat des hôpitaux, le Dr Faouzi Adaïmi, le Premier ministre a promis hier, une nouvelle fois, de faire son possible pour que les preneurs en charge publics (ministère de la Santé, mutuelle des fonctionnaires, armée et FSI) règlent leurs dus aux hôpitaux privés. Le Dr Adaïmi est revenu à la charge, après avoir constaté que la dernière promesse en date de M. Hariri n’avait pas été tenue. Le Premier ministre s’était engagé à ce que les preneurs en charge publics règlent leurs arriérés pour 2001 aux hôpitaux privés, dans un délai maximum expirant fin juin. « À cette date, nous n’avons touché que 20 % » de ces arriérés, a dit le Dr Adaïmi à M. Hariri, ajoutant qu’une partie de ces arriérés avait été payée sous forme de bons du Trésor, que toutes les banques n’acceptent pas d’escompter. En guise de réponse, le Dr Adaïmi a eu droit à de nouvelles promesses. Mais il semblait satisfait d’au moins un des aspects de son entretien avec le chef du gouvernement. Celui qui est en rapport avec l’assurance médicale obligatoire qu’il propose. Les hôpitaux privés sont prêts à faire des prix spéciaux aux Libanais qui bénéficieront de tels contrats d’assurance, a fait valoir le Dr Adaïmi, dans l’espoir de voir de moins en moins de Libanais recourir à une hospitalisation aux frais de l’État, dans l’état actuel de la situation du Trésor.
Recevant le président du syndicat des hôpitaux, le Dr Faouzi Adaïmi, le Premier ministre a promis hier, une nouvelle fois, de faire son possible pour que les preneurs en charge publics (ministère de la Santé, mutuelle des fonctionnaires, armée et FSI) règlent leurs dus aux hôpitaux privés. Le Dr Adaïmi est revenu à la charge, après avoir constaté que la dernière promesse...