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Procès Hindi et les droits civiques
le 17 juillet 2002 à 00h00
Contrairement à ce qui avait été annoncé, le Dr Toufic Hindi n’a pas été privé de ses droits civiques et par conséquent, il ne perdra pas son poste de professeur à l’Université libanaise. En effet, cela aurait été le cas s’il avait été condamné à un an et demi et plus de prison. Mais la Cour de cassation militaire, présidée par le magistrat Tarabay Rahmé, a tenu sciemment à le condamner à quinze mois de détention pour, justement, lui éviter la privation des droits civiques. Pourquoi ne l’avoir pas simplement condamné à un an de détention ? « Il aurait fallu, pour cela, des circonstances particulièrement atténuantes, qui auraient dues être expliquées dans les attendus du jugement », explique une source judiciaire. La Cour a donc préféré se contenter d’une période moyenne (quinze mois), qui lui garde ses principaux droits.
Contrairement à ce qui avait été annoncé, le Dr Toufic Hindi n’a pas été privé de ses droits civiques et par conséquent, il ne perdra pas son poste de professeur à l’Université libanaise. En effet, cela aurait été le cas s’il avait été condamné à un an et demi et plus de prison. Mais la Cour de cassation militaire, présidée par le magistrat Tarabay Rahmé, a...
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