Rechercher
Rechercher

Actualités - CHRONOLOGIES

DIMANE - L’ambassadeur de France reçu hier par le patriarche maronite - Lecourtier : Faire en sorte que le sommet - de la francophonie se tienne comme prévu...

L’ambassadeur de France à Beyrouth Philippe Lecourtier a émis hier – depuis Dimane où il s’en est allé s’entretenir avec le patriarche maronite Nasrallah Sfeir – un ferme souhait. Celui de voir la situation libanaise exclusivement marquée, dorénavant, par des événements positifs. Et ce, afin que le sommet de la francophonie puisse se tenir comme prévu, et dans les meilleures conditions. «Ce sommet va bien plus loin que trois jours de réunions. Des rencontres, des conférences, des entretiens doivent avoir lieu dès le début du mois de septembre», a prévenu le diplomate français. Avant de rendre un hommage vibrant au ministre de la Culture chargé de la Francophonie Ghassan Salamé. Philippe Lecourtier est allé encore plus loin : il a demandé à ce que soit accordé au Premier ministre Rafic Hariri «le temps nécessaire afin qu’il puisse mettre à exécution son plan. Et lorsque tout cela sera enclenché, lorsque les efforts fournis commenceront à produire quelque chose, nous étudierons alors les moyens de venir en aide au Liban», a-t-il précisé. Interrogé à propos des événements des dix derniers jours, il s’est refusé à tout commentaire, se contentant de rappeler la position officielle française, la nécessité de préserver les libertés publiques, l’importance de celles-ci, les droits de l’homme. Et au sujet de Paris II, des craintes exprimées à l’égard de son report ou de son annulation, Philippe Lecourtier a estimé que «nous n’en sommes pas arrivés encore jusque-là. Et cela est en rapport avec le plan de redressement gouvernemental, les propositions faites par le président Hariri en février dernier à Paris. Il faut maintenant lui laisser le champ libre», a-t-il répété. Notons enfin que le patriarche Sfeir s’est entretenu successivement avec Camille Dory Chamoun, les pères Youssef Mouannès, Georges Sakr et Hani Mattar de l’Usek, l’ancien député Wadih Akl, ainsi qu’avec Ibrahim Mehdi Chamseddine et Séoud el-Mawla.
L’ambassadeur de France à Beyrouth Philippe Lecourtier a émis hier – depuis Dimane où il s’en est allé s’entretenir avec le patriarche maronite Nasrallah Sfeir – un ferme souhait. Celui de voir la situation libanaise exclusivement marquée, dorénavant, par des événements positifs. Et ce, afin que le sommet de la francophonie puisse se tenir comme prévu, et dans les...