Actualités - CHRONOLOGIES
« Barzakh » de Omar Fakhoury au Goethe-Institut
le 19 mai 2001 à 00h00
Omar Fakhoury est un jeune critique d’art au quotidien al-Anwar, qui n’a pas eu peur de prendre lui-même le pinceau, pour exprimer ses propres conceptions picturales. Il a néanmoins suivi, avant de se lancer en peinture, les cours de l’Institut national des arts plastiques. Réunis sous le titre de Barzakh (ce qui signifie à peu près entre les deux rives), les 35 tableaux abstraits qu’il donne à voir, au Goethe-Institut (Manara), jusqu’au 31 mai, sont traités par mixed-médias, dans une palette de couleur terre. Surfaces granuleuses, sablonneuses, en relief, élaborées en superposition de couches de peintures, de plaques métalliques, de tissus déchirés, de lattes de bois, de plâtre… Le tout «cousu» de cicatrices en ficelles, et «orné» de graphismes géométriques, ou encore d’éléments évoquant un œil, une coupure, une bouche sanguinolente. Des toiles choc, qui parlent de ces liens complexes entre l’homme et l’univers, entre la vie et la mort, et entre les êtres. Et qui dégagent une sombre violence.
Omar Fakhoury est un jeune critique d’art au quotidien al-Anwar, qui n’a pas eu peur de prendre lui-même le pinceau, pour exprimer ses propres conceptions picturales. Il a néanmoins suivi, avant de se lancer en peinture, les cours de l’Institut national des arts plastiques. Réunis sous le titre de Barzakh (ce qui signifie à peu près entre les deux rives), les 35 tableaux...
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