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Actualités - COMMUNICATIONS ET DECLARATIONS

« Si c’était à refaire ?… »

Élie Nakouzi ne s’attendait pas à ce que le général Aoun emploie les mots et le ton qu’il a pris lundi soir, en direct sur la MTV, et il en a été surpris, et dérangé – même s’il reconnaît, c’est la moindre des choses, le scoop. Interrogé par L’Orient-Le Jour, le jeune journaliste-vedette de la chaîne privée a répété que ces mots «n’engageaient que le général Aoun», et qu’il lui avait affirmé, live et à plusieurs reprises, que c’étaient «des propos humiliants. Il y a même eu une confrontation entre lui et moi», a-t-il rappelé. Vous regrettez tout ça ? «Ce n’est pas une question de regrets, et si c’était à refaire, j’aurais reposé les mêmes questions – à l’extrême limite, j’aurais peut-être un peu plus défendu le chef de l’État, mais ce n’est pas mon boulot, je suis un journaliste, je transmets». Insistant mille et mille fois sur son aversion de tout ce qui ressemble, de près ou de loin, à n’importe quelle diffamation, «que serait-ce s’agissant du président Lahoud, dont je respecte et apprécie la personne ?», Élie Nakouzi a estimé que l’État n’avait pas le droit de poursuivre la chaîne, «parce que c’était du direct, tout simplement, et que les Libanais réprouveraient fortement».
Élie Nakouzi ne s’attendait pas à ce que le général Aoun emploie les mots et le ton qu’il a pris lundi soir, en direct sur la MTV, et il en a été surpris, et dérangé – même s’il reconnaît, c’est la moindre des choses, le scoop. Interrogé par L’Orient-Le Jour, le jeune journaliste-vedette de la chaîne privée a répété que ces mots «n’engageaient que le...