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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Le cas de Ron Arad est insoluble, affirme Naïm Kassem

Le numéro deux du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem, a affirmé hier, en accueillant les cinq membres du Hezbollah libérés par Israël, que le cas de l’aviateur israélien Ron Arad, disparu il y a 13 ans au Liban, était «insoluble». «Le cas de Ron Arad est une des affaires insolubles. Nous avons mené des efforts titanesques et nous les poursuivrons car c’est ainsi que nous pourrons libérer rapidement nos héros toujours détenus en Israël», a dit cheikh Kassem, vice-secrétaire général de la formation intégriste. «Nous n’avons pas de nouvelles sur Ron Arad mais nous poursuivrons nos recherches», a cependant souligné cheikh Kassem, au cours d’un point de presse donné en pleine nuit à l’aéroport de Beyrouth. Ron Arad, fait prisonnier en 1986 par des formations chiites, est le dernier disparu israélien au Liban qu’Israël croit toujours vivant et cherche à récupérer. Une source libanaise proche du dossier avait déclaré dimanche à l’AFP que «les Israéliens auront en échange un geste de la part du Hezbollah concernant le sort de (...) Ron Arad». Cheikh Kassem a remercié l’Allemagne pour ses efforts de médiation ayant abouti à la libération des cinq partisans du Hezbollah. «Il s’agit d’une initiative humanitaire entreprise par le gouvernement allemand, qui est le couronnement d’anciens efforts déployés pour régler le dossier des Libanais détenus dans les prisons israéliennes», a dit cheikh Kassem. «Ce n’est qu’un début et nous nous concerterons avec tous les bienfaiteurs pour faire libérer nos moujahidine (combattants) encore prisonniers en Israël ou dans la prison de Khiam», a ajouté cheikh Kassem.
Le numéro deux du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem, a affirmé hier, en accueillant les cinq membres du Hezbollah libérés par Israël, que le cas de l’aviateur israélien Ron Arad, disparu il y a 13 ans au Liban, était «insoluble». «Le cas de Ron Arad est une des affaires insolubles. Nous avons mené des efforts titanesques et nous les poursuivrons car c’est ainsi que nous...