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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Aoun : le Liban ne doit pas devenir un lot de consolation

Dans un entretien téléphonique avec un groupe de partisans du Courant national libre (CNL), l’ancien chef du gouvernement le général Michel Aoun a mis en relief les dangers que comporte l’étape prochaine «qui décidera du sort du Liban». Il a également assuré l’imminence d’un retrait israélien du Liban-Sud «avec ou sans accord avec Damas» et appelé à la solidarité nationale «pour que le Liban ne devienne pas un lot de consolation». Commentant la récente déclaration du patriarche maronite Mgr Nasrallah Sfeir sur les dangers de cette étape, le général Aoun a estimé que la réalité était contraire aux déclarations, en ce sens que «Mgr Sfeir ouvre grandes les portes de Bkerké devant ceux qu’il considère responsables de la détérioration de la situation dans le pays». Questionné sur son éventuel retour au Liban, le général Aoun a répondu que les circonstances n’y sont pas favorables et que «ceux qui, par trois fois, ont essayé d’attenter à ma vie, ne reculeront pas devant une quatrième tentative». Par ailleurs, dans un communiqué publié hier, le Bureau central de coordination nationale (BCCN) réclame que les Palestiniens résidant au Liban soient traités sur un pied d’égalité avec les autres «hôtes» du pays, «parce qu’il n’est plus permis que des forces non libanaises prennent en charge la sécurité d’une parcelle quelconque de notre territoire national». Le BCCN réclame également l’entrée de l’armée à Jezzine «pour rassurer les habitants» et refuse une loi électorale «taillée sur mesure».
Dans un entretien téléphonique avec un groupe de partisans du Courant national libre (CNL), l’ancien chef du gouvernement le général Michel Aoun a mis en relief les dangers que comporte l’étape prochaine «qui décidera du sort du Liban». Il a également assuré l’imminence d’un retrait israélien du Liban-Sud «avec ou sans accord avec Damas» et appelé à la...