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Actualités - CHRONOLOGIE

Droits de l'homme Pas de répression contre les aounistes, affirme une source de sécurité

Une source de sécurité a démenti samedi que des partisans aounistes aient été «menacés, maltraités et contraints de s’engager par écrit à renoncer à leurs droits politiques». Rappelons que le comité des affaires estudiantines au sein du Courant national libre avait déploré jeudi dernier la convocation par les SR de l’armée libanaise de deux de ses partisans. Dans un communiqué à la presse, la même source a précisé que ces personnes ont été convoquées «pour avoir entrepris des activités portant atteinte à la sécurité et aux relations avec des pays frères et amis». «Elles ont été notifiées de l’obligation de respecter le cadre démocratique et légal et de ne point commettre des infractions susceptibles d’entraîner contre eux des poursuites judiciaires», ajoute la source avant de poursuivre : «La convocation et la mise au point ont eu lieu dans une atmosphère cordiale et démocratique. Ces personnes ont parfaitement compris la nécessité d’agir dans le respect des lois et de manière responsable». La source de sécurité susmentionnée a mis en garde contre «l’exploitation par certaines parties de ces convocations légales à des fins calomnieuses, diffamatoires et personnelles». Par ailleurs, le bureau du général Michel Aoun a envoyé de Paris une télécopie mettant en doute «l’identité» de la source de sécurité en question. «Nous ne pouvons donc pas savoir dans quelle mesure cette source est réellement au fait des événements et nous considérons que ce communiqué n’est qu’une rumeur attribuée à des sources inconnues», ajoute le communiqué du bureau de l’ancien Premier ministre avant d’ajouter : «Le Courant national libre ne veut aucun mal aux pays frères et amis. Mais cette attitude n’est pas en contradiction avec le retrait souhaité des forces syriennes du Liban». Enfin, selon le communiqué, «les prétendues activités portant atteinte à la sécurité du pays ( …) ne sont que des allégations destinées à justifier la répression» dont les partisans du Courant national libre ont été l’objet.
Une source de sécurité a démenti samedi que des partisans aounistes aient été «menacés, maltraités et contraints de s’engager par écrit à renoncer à leurs droits politiques». Rappelons que le comité des affaires estudiantines au sein du Courant national libre avait déploré jeudi dernier la convocation par les SR de l’armée libanaise de deux de ses partisans. Dans...