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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Mise au point Télécommunications : aucun des copropriétaires de Borj el-Ghazal n'a été arrêté

Le président du comité des copropriétaires de Borj el-Ghazal nous a fait parvenir hier un communiqué dans lequel il dément catégoriquement la nouvelle publiée par l’Ani (officielle), que nous avions reprise dans notre édition de samedi, et selon laquelle «le chef de la brigade criminelle centrale, le colonel Samir Rahmé, a arrêté le propriétaire de la tour» dans l’affaire des postes qui utilisaient des lignes internationales pour assurer des communications avec l’étranger à des prix réduits. Selon la mise au point dont nous publions ci-dessous le texte intégral, «aucun des copropriétaires de Borj el-Ghazal n’a été arrêté dans l’affaire dite des télécommunications». En fait, c’est le responsable du poste de télécommunications illégales à Achrafieh qui a été appréhendé par le colonel Rahmé pour les besoins de l’enquête. «En notre qualité de président du comité des copropriétaires du bien-fonds 302/Saifi (Borj el-Ghazal), nous venons par la présente vous réclamer la publication du démenti suivant : «Il a été publié à tort dans l’édition du 2/10/1999 de votre journal, dans la première colonne de la première page, une information erronée d’autant plus que calomnieuse prétendant que le propriétaire de Borj el-Ghazal a été arrêté dans l’affaire des télécommunications. «Nous tenons à préciser que Borj el-Ghazal est une copropriété appartenant à plus de trente copropriétaires différents. «D’autre part aucun de ces copropriétaires n’a été arrêté dans l’affaire dite des télécommunications. «Cette fausse information portant préjudice à chacun des copropriétaires de Borj el-Ghazal, nous demandons à votre rédaction de publier ce démenti dans votre prochaine publication au même endroit où l’information erronée a été publiée, et ce conformément à l’article 4 de la loi No° 330 du 18/5/1994».
Le président du comité des copropriétaires de Borj el-Ghazal nous a fait parvenir hier un communiqué dans lequel il dément catégoriquement la nouvelle publiée par l’Ani (officielle), que nous avions reprise dans notre édition de samedi, et selon laquelle «le chef de la brigade criminelle centrale, le colonel Samir Rahmé, a arrêté le propriétaire de la tour» dans...