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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Environnement - La décharge sanitaire au Koura Libanconsult accuse Greenpeace de diffamation

Le bureau de Libanconsult a répondu au communiqué de Greenpeace Méditerranée publié hier dans L’Orient-Le Jour, concernant la décharge sanitaire de Koura, et a accusé cette organisation de s’être rendue comptable de diffamation. Ce bureau s’était chargé des études du projet, planifié par le CDR, et que Greenpeace qualifiait de «très polluant» pour la région, notamment pour l’eau souterraine. Voici les principaux points de la réponse de Libanconsult qui porte la signature de M. Olivier Vermont : «Le bureau de Greenpeace commence par utiliser des slogans et des termes alarmants comme “bombe écologique menaçant la région”, alors que le projet en question concerne l’aménagement d’une “décharge contrôlée” ou “centre d’enfouissement technique”. Ce sont des termes techniques utilisés pour distinguer cet aménagement des décharges sauvages qui polluent les régions libanaises. «Le bureau d’ingénieurs conseils Libanconsult ne prétend pas, mais certifie qu’une telle décharge contrôlée (et non un dépotoir comme se plaît à dire M. Fouad Hamdane, porte-parole de Greenpeace, pour leurrer encore plus l’opinion publique) ne constitue nullement un danger écologique. Elle représente au contraire la solution la plus adéquate techniquement et économiquement pour le traitement des déchets ménagers». «En effet, les caractéristiques géologiques et géotechniques du site garantissent le support d’étanchéité requis pour de tels aménagements. À titre de garantie supplémentaire, ce support est recouvert d’un complexe formé d’argile, de géomembrane et de géotextile. Ce mode de traitement représente 80% des procédés de traitement des déchets ménagers en Italie et en Espagne, et au moins 55 % en France, en Grande-Bretagne et en Norvège».
Le bureau de Libanconsult a répondu au communiqué de Greenpeace Méditerranée publié hier dans L’Orient-Le Jour, concernant la décharge sanitaire de Koura, et a accusé cette organisation de s’être rendue comptable de diffamation. Ce bureau s’était chargé des études du projet, planifié par le CDR, et que Greenpeace qualifiait de «très polluant» pour la région,...