Rechercher
Rechercher

Hors de l'actu - Hors de l'actu

Beyrouth, de la danse engagée au bien-être en passant par la fin du romantisme : faites un pas hors de l'actu

Cette semaine, suivez aussi ce Français qui découvre le Liban sous tous ses contrastes, ou cuisinez un délicieux tacos au poulet.

Beyrouth, de la danse engagée au bien-être en passant par la fin du romantisme : faites un pas hors de l'actu

Tenei Ahmad dans le spectacle de Ali Chahrour « Quand j'ai vu la mer ». Photo Kassim Dabaji

Comme chaque mercredi, nous vous invitons à prendre une pause à mi-chemin. Avec « Hors de l’actu », évadez-vous quelques minutes, le temps de lire un entretien, de découvrir un nouveau restaurant ou d’apprécier quelques initiatives culturelles au Liban, et au-delà.


Quand Gregory Buchakjian, François Sargologo et Hanibal Srouji décrètent « la fin du romantisme »

Trois artistes, des tableaux, et un titre qui interpelle : « La fin du romantisme ». À la galerie beyrouthine Janine Rubeiz, on s'évade, on discute, on débat et surtout, on laisse la part belle aux questionnements : ceux sur la place de l’émotion, sur la sensibilité, la mémoire et le sublime dans un monde marqué par la violence, la technologie et la désillusion. Zéna Zalzal a interrogé les artistes sur cette démarche commune.

Le tout petit pays des grands écarts

Il n’était jusque-là jamais venu au Liban. Pourtant, comme tant de Français, il en avait beaucoup entendu parler. En arrivant, il était au moins conscient d’une chose, essentielle qui plus est : que ce pays était celui des contraires, des contrastes. Celui des amis si proches mais avec des opinions politiques si éloignées. Celui des personnes si généreuses, mais qui pensent que la rue qu’ils habitent, le pays, est leur propriété. Gilles Khoury vous narre cette découverte.

Lost and Found : un havre de bien-être au cœur de Beyrouth

C'est un lieu voulu « heureux », à la croisée de la restauration, du bien-être et de l’art de vivre. Niché dans une ancienne maison beyrouthine entièrement rénovée, à quelques pas de l’École supérieure des affaires (ESA), Lost and Found abrite six espaces distincts, de la bibliothèque au centre de bien-être en passant par le bar. Nada Alameddine vous y invite.

Une soirée « tacos au poulet », comme une délicieuse invitation au voyage

Qu'est-ce qu'on mange ce soir ? Ce mois-ci, Jaimee Lee Haddad répond à cette question si simple et pourtant si compliquée, et vous évite casse-tête et chamailleries. Première destination, le Mexique, ses couleurs, ses émotions et sa symphonie de goûts intenses.

May, ou comment vieillir avec les spectres de Beyrouth

C'est l’histoire de May, une femme seule qui observe, à 84 ans, la déchéance de son corps et le déclin de son cerveau. Celle de la débâcle des sphincters et des ruses de la mémoire. Avec L’Absence de May (ou Ghaybat May, en arabe), Najwa Barakat signe son septième roman, sur fond d’un Beyrouth dystopique. Fifi Abou Dib vous livre son regard sur cette œuvre qui oscille entre deux temps.

Spectacle choc : Ali Chahrour expose la tragédie des travailleuses migrantes au Liban

À chaque crise que traverse le Liban, le scénario se rejoue : les travailleuses domestiques sont abandonnées à leur propre sort, piégées dans des maisons ou contraintes d'errer dans les rues sans ressources. Pendant la guerre, le chorégraphe Ali Chahrour est allé à la rencontre de ces réalités pour les raconter dans un spectacle qui n'est pas « une danse de tristesse, mais une célébration de la vie ». Il a raconté ce projet à Rana Rajjar.

Comme chaque mercredi, nous vous invitons à prendre une pause à mi-chemin. Avec « Hors de l’actu », évadez-vous quelques minutes, le temps de lire un entretien, de découvrir un nouveau restaurant ou d’apprécier quelques initiatives culturelles au Liban, et au-delà.Quand Gregory Buchakjian, François Sargologo et Hanibal Srouji décrètent « la fin du romantisme » Trois artistes, des tableaux, et un titre qui interpelle : « La fin du romantisme ». À la galerie beyrouthine Janine Rubeiz, on s'évade, on discute, on débat et surtout, on laisse la part belle aux questionnements : ceux sur la place de l’émotion, sur la sensibilité, la mémoire et le sublime dans un monde marqué par la violence, la technologie et la désillusion. Zéna Zalzal a interrogé les artistes sur cette démarche commune.Le tout petit pays...
commentaires (0) Commenter

Commentaires (0)

Retour en haut