
Illustration Jaimee Lee Haddad / L'Orient-Le Jour

Dans Le Weekender, L'Orient-Le Jour vous propose une sélection d'articles traitant de culture, de lifestyle, de mode, de sujets sociétaux, à (re)lire durant le week-end. Pour faire une pause et tenter de déconnecter (un peu) de l’actualité chaude.


Cliniques esthétiques haut de gamme en France : le succès fulgurant de la Libanaise Chrystelle Eid
Elle voulait être ingénieure des ponts. Finalement, après un petit tour par la City londonienne, la Libanaise Chrystelle Eid est de retour à Paris, et à la tête d’Innerskin, un nouveau centre esthétique qui monte en France. Anne Ilcinkas vous raconte cette success story.

Y aurait-il comme une envie de retour à la langue de « nos ancêtres les Phéniciens » ?
Musique de fusion-phénicienne, cours d’épigraphie phénicienne à l'université… L’idée d’un retour à la pratique ancestrale de la langue « de nos ancêtres » fait son chemin. Et si, demain, on commandait nos cafés dans cette langue morte ? Zéna Zalzal s’est penchée sur la question.

Comment la BD se met au chevet de Gaza
Quand les mots ne suffisent plus, la BD prend tout son sens. Face au sanglant carnage dans la bande de Gaza, un projet naît au Liban. L’idée ? Rassembler les BD publiées sur la situation en Palestine et guider les bédéistes n’osant pas créer sur ce thème. Emmanuel Haddad vous parle de cette initiative qui aspire « à sensibiliser, informer, et changer les choses ».

Sur la scène libanaise, la démocratisation de la poésie comme moyen d’expression
Fini le temps où elle était l’apanage de quelques âmes inspirées. Longtemps perçue comme désuète, ou du moins réservée à une élite intellectuelle, la poésie est aujourd’hui démystifiée : au Liban, elle gagne peu à peu du terrain auprès des jeunes générations d’artistes. Zeina Kovaks s’est rendue dans ces bars où l’on taquine la muse.

« C’est ici que l’armée israélienne est entrée » : en patrouille avec la Finul au Liban-Sud
Au Liban-Sud, la mission des soldats de la paix de la Finul s’intensifie. Alors que les forces israéliennes sont toujours présentes dans le secteur de Marjeyoun, malgré le cessez-le-feu entré en vigueur le 27 novembre, Lyana Alameddine et Lucile Wassermann ont suivi un contingent chargé de veiller au respect de la trêve.