Bombardements israéliens sur Naqoura, caza de Tyr, en mai 2024. Photo AFP
Par une telle chaleur, la ville côtière de Naqoura, dans le caza de Tyr, au sud du Liban, est habituellement pleine d'estivants profitant de ses plages et d'une baignade en mer, connue pour être plus propre que sur le reste de la côte. Mais les choses ont radicalement changé depuis le 8 octobre 2023. Comme dans toute la région du Sud, la ville est devenue une zone interdite pour beaucoup, la majorité des habitants ayant fui en raison des frappes israéliennes, au milieu des tirs transfrontaliers quotidiens avec le Hezbollah, en solidarité avec le Hamas à Gaza. Les résidents de Naqoura qui ont choisi de rester ont dû s'adapter aux risques. Trois membres d'une même famille ont ainsi succombé aux frappes israéliennes : Haidar Joheir, secouriste de l'Association de santé islamique, affiliée au Hezbollah, et Issam Joheir, tous deux tués...
Par une telle chaleur, la ville côtière de Naqoura, dans le caza de Tyr, au sud du Liban, est habituellement pleine d'estivants profitant de ses plages et d'une baignade en mer, connue pour être plus propre que sur le reste de la côte. Mais les choses ont radicalement changé depuis le 8 octobre 2023. Comme dans toute la région du Sud, la ville est devenue une zone interdite pour beaucoup, la majorité des habitants ayant fui en raison des frappes israéliennes, au milieu des tirs transfrontaliers quotidiens avec le Hezbollah, en solidarité avec le Hamas à Gaza. Les résidents de Naqoura qui ont choisi de rester ont dû s'adapter aux risques. Trois membres d'une même famille ont ainsi succombé aux frappes israéliennes : Haidar Joheir, secouriste de l'Association de santé islamique, affiliée au Hezbollah, et Issam Joheir,...
Des deux côtés, l'industrie du tourisme est dans le dur
15 h 06, le 07 juin 2024