Rechercher
Rechercher

Lifestyle - Sélection

De la kafta à base de blanc de champignon; deux Libanais qui torréfient à Paris... Découvrez Le Weekender !

Rencontrez deux frères libanais devenus torréfacteurs à Paris ; suivez la success story d'une marque de soins libanaise ;  et découvrez la station balnéaire égyptienne que se sont offerte les Emirats arabes unis.

De la kafta à base de blanc de champignon; deux Libanais qui torréfient à Paris...  Découvrez Le Weekender !

Montage réalisé par Jaimee Haddad

Dans Le Weekender, L'Orient-Le Jour vous propose une sélection d'articles à (re)lire durant le week-end. Pour faire une pause, déconnecter d'une actualité souvent trop sombre ou encore découvrir de belles initiatives libanaises.


Anthony et Georges Karam, cofondateurs de Partisan. Photo Linda Abdalla

Chez Partisan à Paris, la leçon de café des Libanais Anthony et Georges Karam

Pour eux, le café est une question de passion et de précision. Gilles Khoury a rencontré Anthony et Georges Karam, deux frères qui ont ouvert un café doublé d'un atelier de torréfaction à Paris. En l’espace de quelques années, Partisan est devenu l’un des lieux de rencontre privilégiés des habitants de la capitale française. Découvrez, ici, l'aventure parisienne des deux frères.


Mazen Rizk, fondateur et PDG de la société allemande Infinite Roots. Photo DR

Fondée par un Libanais, Infinite Roots lève 58 millions de dollars

Une kafta qui ressemble à de la kafta, a le goût de la kafta, le parfum de la kafta, mais est produite à partir de mycélium de champignons plutôt que de viande. C'est possible !, assure Mazen Rizk, un Libanais originaire de Byblos et fondateur de la startup Infinite Roots. A priori, il n'est pas le seul à le penser, puisque cette startup spécialisée dans la biotechnologie vient de lever la coquette somme de 58 millions de dollars en investissement de série B. Fouad Gemayel vous en dit plus, ici, sur cette success story libanaise.


Batoul Hakim, fondatrice de Savvy Element. Photo DR

Savvy Element, une niche de produits de ménage et de soins libanais eco-friendly

Un jour, son dermatologue a dit à Batoul Hakim que ses tâches de rousseur n'étaient pas esthétiques et qu'il fallait les traiter. En conséquence de quoi, la jeune Libanaise ne sortait plus de chez elle sans fond de teint. Il a fallu attendre une retraite de méditation où le maquillage était interdit, et pendant laquelle elle reçoit de nombreux compliments sur les taches de rousseur décriées par son médecin, pour qu’elle change d’avis. « Cette histoire m'a amenée à m'intéresser davantage à la beauté naturelle et à prendre soin de moi en toute conscience », explique-t-elle. De cette prise de conscience est née Savvy Element, une petite entreprise de produits de ménage et de soins eco-friendly. Découvrez, ici, l'article de Lynn Jaafar, dans notre série qui remonte le moral : « Succès d'entreprises ».


Salim Azzam en veste Salim Azzam brodée au fil d'or, à la Trinity Night de Cartier. Photo DR

Cartier célèbre 100 ans de Trinity avec le Libanais Salim Azzam et ses brodeuses

Il y a 100 ans, Cartier dévoilait sa bague Trinity : trois anneaux entrelacés en or rose, jaune, blanc ou platine. A l'occasion des célébrations de ce centenaire, la prestigieuse maison de joaillerie a annoncé le lancement de sa nouvelle collaboration. Avec un Libanais : le couturier Salim Azzam, originaire de Bater. Fifi Abou Dib vous dit tout ici.


Le projet 5 by Marseilia, un complexe de villégiature à Ras el-Hikma, en Égypte. Compte Instagram @nara_studios

Les Émirats arabes unis s’offrent une station balnéaire en Égypte

Sable blanc, eau turquoise, hôtels chics et branchés… La station balnéaire de Ras al-Hikma, à 350 kilomètres au nord-ouest du Caire, est devenue la nouvelle cible des investissements émiratis. Abou Dhabi compte acquérir 80 % de ce territoire, qui s’étend sur 180 millions de mètres carrés au bord de la Méditerranée. Pourquoi, comment ? Amélie Zaccour vous l'explique ici.


Sajed Faraj, défenseur de l’équipe de Bint Jbeil, dépité au terme de la défaite de son équipe au Riyadi de Abbassiyé, vendredi 9 février sur la pelouse du stade de l’Imam Moussa Sadr, à Ansar, dans le caza de Nabatiyé. Photo João Sousa

FC Bint Jbeil, jouer la montée malgré la guerre aux trousses

Seul club libanais à devoir se déplacer à domicile, guerre oblige, l'équipe du Liban-Sud FC Bint Jbeil disputait vendredi 9 février un « derby » décisif pour l'accession en première division. Non loin du terrain, les joueurs et le public entendaient l'écho des bombardements sur Nabatiyé...Découvrez le reportage de Gabriel Blondel.


Des hommes libanais passent derrière les fourneaux..

A table (avec les garçons)

Alerte : ceci est une série « genrée » ! Pendant plusieurs semaines, L’Orient-Le Jour met des hommes libanais derrière les fourneaux. Aucun d’entre eux n’est chef de profession. Ils sont comédien, architecte, musicien, contre-ténor, ex-homme politique, économiste, écrivain ou artiste. Ils aiment manger, mais aussi cuisiner, pour eux et leurs amis. Portés sur l’improvisation ou le méticuleux, plutôt sucrés ou salés, ils partagent avec vous leur recette fétiche. Une série réalisée par Carla Henoud, à découvrir ici.


Hala Moughanie : « Ce titre, c’est parce que je réclame ma terre, j’ai un droit au retour. » Photo DR

Hala Moughanie : Personne n’a le droit de me dire qu’il faut désespérer !

Récompensée par le théâtre de la Colline/Actes Sud et RFI pour ses écrits dramaturgiques, l’écrivaine libanaise Hala Moughanie a signé à la fin de l'année 2023 son premier roman, « Il faut revenir ». Une traversée de l’histoire du Liban des années 1990 jusqu’au début des années 2020, ou le mythe de l’éternel retour. Elle répondait ici aux questions de Nasri N. Sayegh

Dans Le Weekender, L'Orient-Le Jour vous propose une sélection d'articles à (re)lire durant le week-end. Pour faire une pause, déconnecter d'une actualité souvent trop sombre ou encore découvrir de belles initiatives libanaises.Anthony et Georges Karam, cofondateurs de Partisan. Photo Linda AbdallaChez Partisan à Paris, la leçon de café des Libanais Anthony et Georges KaramPour eux, le...

commentaires (1)

Mazen Risk ne fait que confirmer la justesse des recherches champignonesques de son illustre predecesseur Pacôme Hégésippe Adélard Ladislas, comte de Champignac.

Michel Trad

15 h 29, le 17 février 2024

Tous les commentaires

Commentaires (1)

  • Mazen Risk ne fait que confirmer la justesse des recherches champignonesques de son illustre predecesseur Pacôme Hégésippe Adélard Ladislas, comte de Champignac.

    Michel Trad

    15 h 29, le 17 février 2024

Retour en haut