Drapeaux palestiniens brandis, keffieh autour du cou et affiches appelant à la poursuite des aides de l'Unrwa, quelques deux cents réfugiés venus de tous les camps du pays ont bravé la météo mardi dernier, pour manifester devant les bureaux de l'agence onusienne dans la capitale libanaise. En ligne de mire, la décision de plusieurs pays – dont ses principaux bailleurs : les États-Unis, l’Allemagne et le Japon – de suspendre leur financement après des accusations selon lesquelles certains des salariés de l'Unrwa ont été impliqués dans l'attaque du Hamas le 7 octobre 2023. Avec des conséquences catastrophiques pour le budget de cette agence - de près de 1,6 milliard de dollars en 2023,selon son site internet -, chargée depuis 1949 de fournir une assistance humanitaire dont dépendent encore près de 250 000 déplacés palestiniens au...
Drapeaux palestiniens brandis, keffieh autour du cou et affiches appelant à la poursuite des aides de l'Unrwa, quelques deux cents réfugiés venus de tous les camps du pays ont bravé la météo mardi dernier, pour manifester devant les bureaux de l'agence onusienne dans la capitale libanaise. En ligne de mire, la décision de plusieurs pays – dont ses principaux bailleurs : les États-Unis, l’Allemagne et le Japon – de suspendre leur financement après des accusations selon lesquelles certains des salariés de l'Unrwa ont été impliqués dans l'attaque du Hamas le 7 octobre 2023. Avec des conséquences catastrophiques pour le budget de cette agence - de près de 1,6 milliard de dollars en 2023,selon son site internet -, chargée depuis 1949 de fournir une assistance humanitaire dont dépendent encore près de 250 000...
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