
Un chauffeur de taxi officiel à Beyrouth. Photo João Sousa
Le manque d’opportunités d’emploi au Liban oppose les chauffeurs de taxi à plaque rouge et à plaque blanche. Les premiers réclament une réglementation, les seconds ne semblent pas trop inquiets.
OLJ / Richard SALAME/L'Orient Today , le 29 septembre 2023 à 20h52
Un chauffeur de taxi officiel à Beyrouth. Photo João Sousa
"Souligne que le code de la route au Liban"? Je ne savais pas qu'il y a un code de la route au Liban? Encore moins que les taxis s'en réfèrent vu leur conduite
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"Souligne que le code de la route au Liban"? Je ne savais pas qu'il y a un code de la route au Liban? Encore moins que les taxis s'en réfèrent vu leur conduite
Tania
20 h 55, le 29 septembre 2023