Le « non, merci » de l’opposition à Le Drian

Je suis surpris par la position de certains de mes compatriote envers l'intervention de la France ou de tout autre pays étrangers dans les affaires internes du pays. Aucun état, qui qu'il soit, n'a le droit de nous demander le profil du Président que NOUS voulons voir gérer le pays, et surtout chercher a nous imposer des délais pour répondre. Nous n'avons pas pris les armes en 1975 pour défendre le pays, ses institutions, notre liberté et notre démocratie pour accepter aujourd'hui que la France ou tout autre France se permette de s'immiscer dans nos affaires. Même si nos institutions sont délétères, même si nos politiques, pour la plupart, sont corrompus, n'oublions pas que nous les avons choisit et donc il nous faut assumer nos choix. Nous avons une constitution, si les amis du Liban veulent vraiment nous aider, il leur faut simplement travailler a convaincre le Hezbollah de respecter la constitution et non pas essayer de le satisfaire pour qu'ils puissent, eux, jouir par après des mannes de nos ressources naturelles qui sont la principales raisons de leur intérêts. Le pays ne pourra se remettre que si le Hezbollah accepte de remettre ses armes sans conditions aucunes. Le reste ne sera plus que détails faciles a régler a travers les institutions. Se sera fait soit dans la paix soit par la guerre. C'est entre les mains du parti Iranien d'en décider. Le temps presse et nous arrivons vers la fin du compte a rebours qui a débuté a un fameux 11/09.