Rechercher
Rechercher

Culture - Rencontre

Pour Nour Awada, l’identité libanaise est désormais une chanson douce

Pour « réapprivoiser » ses racines libanaises, cette artiste visuelle a commencé par piocher dans le répertoire de la grande Feyrouz de quoi nourrir son vocabulaire arabe et sa pratique de la performance. Poursuivant dans la veine d’une recherche identitaire, elle s’est ensuite attelée à recueillir des récits de vie de ses compatriotes. Des histoires intimes « clouées » dans des blocs de savon à l’huile d’olive qui, une fois rassemblés, formeront une installation performative en forme de paroi murale. Une œuvre mémorielle et tisseuse de lien... Comme ces « Chansons douces ».

Pour Nour Awada, l’identité libanaise est désormais une chanson douce

Nour Awada. L’artiste visuelle franco-libanaise explore ses récits de transmission dans « Une chanson douce ». Crédit photo Morvan Joyeux

« L’identité n’est pas donnée une fois pour toutes. Elle se construit et se transforme tout au long de l’existence. » Interpellée par cette phrase d’Amin Maalouf (tirée de son fameux essai Les Identités meurtrières), Nour Awada en a fait...
« L’identité n’est pas donnée une fois pour toutes. Elle se construit et se transforme tout au long de l’existence. » Interpellée par cette phrase d’Amin Maalouf (tirée de son fameux essai Les Identités meurtrières), Nour Awada en a fait...

commentaires (1)

Magnifique article magnifique personne et magnifique travail La plume fluide et élégante de zena zalzal en est la cerise sur le gâteau ! Merci

Noha Baz

23 h 59, le 13 mai 2023

Tous les commentaires

Commentaires (1)

  • Magnifique article magnifique personne et magnifique travail La plume fluide et élégante de zena zalzal en est la cerise sur le gâteau ! Merci

    Noha Baz

    23 h 59, le 13 mai 2023

Retour en haut