
Nour Awada. L’artiste visuelle franco-libanaise explore ses récits de transmission dans « Une chanson douce ». Crédit photo Morvan Joyeux
Pour « réapprivoiser » ses racines libanaises, cette artiste visuelle a commencé par piocher dans le répertoire de la grande Feyrouz de quoi nourrir son vocabulaire arabe et sa pratique de la performance. Poursuivant dans la veine d’une recherche identitaire, elle s’est ensuite attelée à recueillir des récits de vie de ses compatriotes. Des histoires intimes « clouées » dans des blocs de savon à l’huile d’olive qui, une fois rassemblés, formeront une installation performative en forme de paroi murale. Une œuvre mémorielle et tisseuse de lien... Comme ces « Chansons douces ».
OLJ / Par Zéna ZALZAL, le 13 mai 2023 à 00h01
Nour Awada. L’artiste visuelle franco-libanaise explore ses récits de transmission dans « Une chanson douce ». Crédit photo Morvan Joyeux
Magnifique article magnifique personne et magnifique travail La plume fluide et élégante de zena zalzal en est la cerise sur le gâteau ! Merci
Magnifique article magnifique personne et magnifique travail La plume fluide et élégante de zena zalzal en est la cerise sur le gâteau ! Merci
23 h 59, le 13 mai 2023