
Le chef du Conseil politique suprême houthi, Mahdi al-Mashat, rencontre des délégations saoudiennes et omanaises au palais républicain de Sanaa, au Yémen, le 9 avril 2023. Saba News Agency/Handout via REUTERS
Un échange de prisonniers et des rencontres entre des responsables saoudiens et houthis à Sanaa la semaine dernière, neuf ans après le début de la guerre au Yémen, laissent augurer d'une annonce proche d’un cessez-le-feu régional. Mais l’exclusion du conseil présidentiel yéménite des négociations de paix annule toute chance de réconciliation nationale, selon Abdulghani al-Iryani, chercheur au Sanaa Center for Strategic Studies.
OLJ / Par Amélie ZACCOUR, le 12 avril 2023 à 15h35
Le chef du Conseil politique suprême houthi, Mahdi al-Mashat, rencontre des délégations saoudiennes et omanaises au palais républicain de Sanaa, au Yémen, le 9 avril 2023. Saba News Agency/Handout via REUTERS
On ne négocie pas avec des valets fantoches ... On leur donne des ordres , cet article est pour les rêveurs naifs !
Il ne s'agit pas d'une "erreur", mais d'un calcul cynique du côté saoudien et iranien...les uns se fichent pas mal que les yéménites poursuivent leurs habitudes de guerre civile larvée, plus ou moins permanente, dès lors qu'ils sont débarrassés des agressions houtistes...les autres sont à l'aise avec la situation, puisque c'est leur "franchisé" qui mène la danse dans un pays en position de stopper une bonne partie du transit maritime mondial.
commentaires (2)
On ne négocie pas avec des valets fantoches ... On leur donne des ordres , cet article est pour les rêveurs naifs !
Chucri Abboud
16 h 25, le 12 avril 2023