Le siège de l'Association des banques du Liban à Beyrouth. Photo João Sousa
Les propos du secrétaire général de l’Association des banques du Liban (ABL) Fadi Khalaf ont résonné mercredi après que l’un des éléments phares de sa lettre servant d'introduction au rapport mensuel publié par l’organisation a été repris dans les...
Les propos du secrétaire général de l’Association des banques du Liban (ABL) Fadi Khalaf ont résonné mercredi après que l’un des éléments phares de sa lettre servant d'introduction au rapport mensuel publié par l’organisation a été repris dans les...
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TOUS DES VOLEURS, TOUS DES ESCROCS, TOUS DES MAFIEUX. LEUR SOUCI EST DE FAIRE VOLATILISER COMPLETEMENT LES DEPOTS. ET DIRE QUE LA JUSTICE NE S,EST MUE QUE PARTIELLEMENT APRES PLUS DE TROIS ANS. TFEEEEEEEHHHHH 3ALA HEYK 3ALAM.
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LA LIBRE EXPRESSION
19 h 29, le 09 mars 2023
La déclaration de Fadi Khalaf relève d’une grande maladresse qui nuit tant aux banques qu’aux déposants . Et dire qu’il s’agit du secrétaire General de l.Association ! Le niveau a bien baissé .
KASSIS Nayla
17 h 40, le 09 mars 2023
En attendant monsieur le secrétaire général, le dollar a repris sa hausse. Vous auriez pu rester un peu plus discret en politiquement correct ou fermer votre gueule en trivial
Lecteur excédé par la censure
14 h 01, le 09 mars 2023
Mais monsieur le secrétaire, c’est quand même bien vous qui avez inventé cette sorcellerie de lollards et fresh dollars. Quand j’en parle en Europe, les gens me regardent comme si j’étais un zombie tellement cette histoire est incroyable. Vous avez séquestré l’épargne des déposants, il faut un minimum de retour de bâton et encore je suis gentil et poli. Je ne dis pas que c’est la seule faute des banques mais celles ci sont des complices actifs de ce vol en bande organisée
Lecteur excédé par la censure
10 h 45, le 09 mars 2023
Ce qui est hallucinant, c'est qu'aucun parti politique ne semble être intéressé par l'économie, qui est et de loin la priorité. Plus, Ils entraînent le peuple dans des débats houleux, de politique de chimères, tandis que ce même peuple n'arrive plus à joindre les deux bouts. Des crapules au pouvoir, des partis qui détournent l'attention, des médias qui participent à ce jeu ignoble, et un peuple qui semble tout accepter, et qui prime la politique, désastreuse, avant son intérêt économique. C'est à dormir debout. Du jamais vu.
Raed Habib
10 h 33, le 09 mars 2023
La lettre de M. Khalaf arrive à point nommé pour calmer les velléités judiciaires et les déposants qui espèrent encore grappiller quelques dollars par la force. Elle est suffisamment floue pour permettre toutes sortes d’interprétations. Hasard du calendrier?
Marionet
10 h 19, le 09 mars 2023
Le dollar frais, c'est comme le poisson, pour juger de sa fraîcheur, il faut regarder son oeil. Clair et transparent, c'est du frais. Tarabiscoté et opaque, c'est du bancaire. M. Khalaf, vous n'êtes qu'un vulgaire poissonnier essayant de nous refourguer votre poisson douteux, et surtout d'esquiver, les soupçons légitimes de pêche de nos ressources à l'explosif. Soyez-en sûr, le Peuple se souviendra de vous quand tout se sera écroulé et que vous vendrez votre "vrai" poisson pourri sur les routes de Nabattieh.
Ca va mieux en le disant
10 h 18, le 09 mars 2023
"Le secrétaire général de l’ABL souligne que les banques ne peuvent plus compter sur les remboursements de prêts de leurs clients, vu que ceux-ci sont payés soit en « dollars bancaires », soit en livres libanaises, mais pas en « dollars frais ».... ben mon pote, fallait peut-être réfléchir un peu plus avant de mettre en oeuvre ce dispositif unique au monde de prévarication organisée sur le dos du peuple !
Ca va mieux en le disant
09 h 54, le 09 mars 2023
Ils n'ont pas de Dollars. Par contre, ils ont des livres libanaises, dont la valeur se reduit a celle du papier qui a servi a l'impression....
Tout confirme que le secteur bancaire est "insolvable" c.a.d. en termes plus familier, en faillite.
Bien sur, quelques rares banques pourraient faire face. Elles se compteraient sur les doigts d'une main.
Il est grand temps de mettre un terme a cette comedie, de saisir les avoirs des banques faillies et ceux des membres des conseils d'administrations, comme la loi le stipule, pour indemniser un tant soit peu les deposants.
La justice penale devrait egalement se pencher sur les comportements totalement illegaux des principaux banquiers vis-a-vis des deposants. Certaines des crapules bancaires meritent largement la prison.
Canaille mafieuse de bas etage.
Michel Trad
22 h 21, le 08 mars 2023
Dans ce même journal, on lit que le Sri Lanka a su en quelques mois entreprendre toutes les démarches pour restructurer sa dette avec ses créanciers et profiter ainsi de l’aide du FMI. Je conclus que les dirigeants du Sri Lanka sont infiniment plus intelligents et plus efficaces que nos dirigeants qui depuis 3 ans et demi n’ont pas réussi à effectuer la moindre réforme pour relancer l’économie du pays.
commentaires (10)
TOUS DES VOLEURS, TOUS DES ESCROCS, TOUS DES MAFIEUX. LEUR SOUCI EST DE FAIRE VOLATILISER COMPLETEMENT LES DEPOTS. ET DIRE QUE LA JUSTICE NE S,EST MUE QUE PARTIELLEMENT APRES PLUS DE TROIS ANS. TFEEEEEEEHHHHH 3ALA HEYK 3ALAM.
LA LIBRE EXPRESSION
19 h 29, le 09 mars 2023