Les escargots et la voix de Joe Dassin à La Gargote et au Gargotier
Un restaurant, un hôtel, un bar, une boutique, une plage... Chaque premier lundi du mois, nous vous emmenons à la (re)découverte d’un endroit inscrit, d’une manière ou d’une autre, dans la mémoire collective libanaise. À travers l’histoire de ces lieux, cette nouvelle rubrique va surtout raconter pourquoi ils sont encore, aujourd’hui... cultes. Pour ce deuxième numéro, les restaurants La Gargote et Le Gargotier, respectivement fondés en 1966 et 1971, à Broummana.
Le 1er décembre 1971, Le Gargotier ouvrait ses portes. Photo Michèle Aoun
Quand on pense au village de Broummana, la première idée, le premier sentiment, la première image qui viennent à l’esprit sont sans doute ceux qu’on associe à une certaine douceur surannée. En ce sens, il est surprenant d’apprendre qu’en araméen, le...
Quand on pense au village de Broummana, la première idée, le premier sentiment, la première image qui viennent à l’esprit sont sans doute ceux qu’on associe à une certaine douceur surannée. En ce sens, il est surprenant d’apprendre qu’en araméen, le...
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Lu du Canada où nous avons émigré depuis bien longtemps:
Tres belle article.
Nostalgie quand tu nous tiens….
Danielle Nasr
20 h 04, le 07 décembre 2022
Superbe
Philippe rizk
22 h 08, le 05 décembre 2022
Il serait dommage de ne pas réouvrir LA GARGOTE , qui est toujours un restaurant emblématique et incontournable, surtout l'hiver ,où l'ambiance est toujours chaleureuse ...Espérons le voir réouvrir au plus tôt ! Tous nos souvenirs y sont enfouis !
Chucri Abboud
18 h 26, le 05 décembre 2022
Le Gargotier est associé dans mes souvenirs à Broummana. Malgré les années, je me dis qu’ils sont toujours là, alors que la Sabena a disparu.
""Le Gargotier ne ressent presque pas le contrecoup des événements, d’autant plus que Broummana devient très vite un refuge pour les Beyrouthins et autres habitants de régions plus impactées. « Même sous les bombes, les gens venaient boire, rire et danser. C’était comme ça, en ces temps-là », regrette presque Hoda Abi Saab à qui l’on doit la notoriété du Gargotier"". Le récit est frappant, c’est tout à fait cela, à part en 76, quand la bataille fait rage dans les camps plus bas. C’était un rêve pour traverser l’entrée surtout quand on se fait inviter par des amis. Les photos restituent bien les souvenirs, le temps est passé par là, avec une bonne mention pour le souci du cadrage… J’irai visiter le Gargotier lors de mon prochain voyage…
commentaires (5)
Lu du Canada où nous avons émigré depuis bien longtemps: Tres belle article. Nostalgie quand tu nous tiens….
Danielle Nasr
20 h 04, le 07 décembre 2022