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Politique - Pour mémoire

Explosions au port : Ce qui empêche Tarek Bitar de poursuivre son enquête

Le juge en charge du dossier a été notifié vendredi des dernières plaintes en date qui le visent. L’une d’elles est un recours en dessaisissement qui vient s’ajouter à toutes celles qui lui lient les mains depuis des mois.

Explosions au port : Ce qui empêche Tarek Bitar de poursuivre son enquête

Nouvel incendie hier au niveau des silos de blé au port de Beyrouth. Photo Richard Salamé

Dans un pays où la justice suit son cours normal, quand un magistrat se rend à son bureau, c’est bien pour travailler ses dossiers afin qu’il puisse rapidement identifier les circonstances des affaires qu’il traite et les personnes qui y sont...
Dans un pays où la justice suit son cours normal, quand un magistrat se rend à son bureau, c’est bien pour travailler ses dossiers afin qu’il puisse rapidement identifier les circonstances des affaires qu’il traite et les personnes qui y sont...

commentaires (9)

Qui peut subir autant de pressions et de menaces sans ébranler sa motivation ? Je demande l’avis d’un psy, ce gars ne doit fonctionner comme tout le monde. Courage à toi M. Bitar.

Jacques d

00 h 37, le 06 août 2022

Tous les commentaires

Commentaires (9)

  • Qui peut subir autant de pressions et de menaces sans ébranler sa motivation ? Je demande l’avis d’un psy, ce gars ne doit fonctionner comme tout le monde. Courage à toi M. Bitar.

    Jacques d

    00 h 37, le 06 août 2022

  • Et si la cour de cassation rejette tous les recours de facto ? Une révolution judiciaire s’impose plus que jamais et c’est maintenant. Courage les juges!

    Wow

    13 h 47, le 05 août 2022

  • "Ce qui empêche Tarek Bitar de poursuivre son enquête" ? La canaille politichienne pardi !

    Michel Trad

    18 h 51, le 14 juillet 2022

  • Un tel crime impuni... et une population qui vote à nouveau ses bourreaux : ce pauvre peuple Libanais mérite malheureusement tout ce qu’il lui arrive !!!

    Hanna Philipe

    13 h 19, le 14 juillet 2022

  • Ne faudrait-il pas écrire plutôt: "Qui empêche Tarik Bitar de poursuivre son enquête"...?

    otayek rene

    12 h 33, le 14 juillet 2022

  • Un pays sans justice est un pays mort. N’est ce pas le vœu pieux de ce président et de sa clique qui observent les manœuvres de leurs alliés pour empêcher toute justice dans notre pays sans qu’ils dénoncent leurs agissements ni avoir recours aux lois internes et à la constitution comme ils le font quand il s’agit de défendre un des leurs ou un poste qui leur assure une rentabilité pour faire fructifier leurs fortunes mal acquises. Leur silence accompagné de discours fallacieux sur leur volonté de voir aboutir l’enquête sans jamais dénoncer les bloqueurs dont ils font partie d’ailleurs, montrent à quel point ils sont impliqués dans tous les désastres qui se sont abattus sur notre pays. Et ils veulent continuer à gouverner et à présider ce pays on se demande pourquoi.

    Sissi zayyat

    12 h 22, le 14 juillet 2022

  • « Tout le monde sait » qui a importé le nitrate pour le compte de qui, que c’est la même entité qui assassine nos éminences grises, qui se nourrit de notre argent volé etc etc… On a manifesté pour tout et n’importe quoi à l’automne 2019 embobinés par des bobos gauchistes à la solde de l’état profond et de la même entité milicienne transnationale qui nous tue et nous vole, et résultat le citoyen lambda est dégoûté des manifestations. Alors que là précisément des manifestations ciblées contre ce ministre qui bloque l’enquête seraient ce qu’il y a de plus efficace pour faire avancer les choses.

    Citoyen libanais

    08 h 23, le 14 juillet 2022

  • C’est toujours les « usual suspects », Amal&Co, vient se rajouter a cela le blocus de la France qui empêche l’internationalisation de l'enquête sur l’explosion du port. Bitar n’a aucune chance d’aboutir, et le Liban aucune chance de progresser vers une normalisation d’un processus juridique propre et impartial.

    CW

    04 h 16, le 14 juillet 2022

  • Si le juge d’instruction ne s’est pas rendu à son bureau depuis le 23 décembre dernier jusqu’à 8 juillet, c’est qu’il faisait du télétravail ! Pour être un peu plus sérieux, on peut se poser la question sur les conditions de travail de ce magistrat et comment il pouvait entendre l’un des prévenus, ou diligenter l’une ou l’autre enquête ? Cette absence du bureau en dit long sur la marche de l’enquête, et s’il ne veut pas s’arrêter en chemin, bien que 34 actions en justice contre lui, (du jamais vu, je l’avoue) pour le dessaisir, c’est qu’il a la volonté pour soulever des montagnes de mensonges. La volonté ne suffit pas, sans le rejet des recours. Même s’il renonce, (en 2005 un magistrat a fini par céder à la pression du même bord politique) un autre magistrat finira sûrement par baisser les bras. La vérité sera loin d’être établie, mais on n’est pas dans les secrets des dieux.

    Nabil

    01 h 32, le 14 juillet 2022

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