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Nos Lecteurs ont la Parole

À propos de l’article « Sélim Abou, un Che Guevara en soutane »

Quand j’étais vice-recteur à l’administration de l’USJ de 1982 à 1990, sous le mandat du recteur Jean Ducruet, un autre grand homme, Sélim Abou, était constamment pris par sa faculté des lettres (dont il était le doyen), ses voyages anthropologiques et ses travaux philosophiques. Mais au fil des années passées au rectorat de l’université, j’appris à apprécier la grandeur d’âme et l’humanisme de l’homme et me liais à lui d’une solide amitié.

Aussi ai-je lu avec intérêt l’article de Fady Noun paru dans L’OLJ du 25 mars et appris avec joie qu’une séance d’hommage au père Abou s’est récemment tenue à l’USJ.

Je me permets cependant, abondant dans le sens de notre ami Marwan Hamadé qui le qualifia de père spirituel de l’intifada de 2005, de rappeler que parmi ses nombreux ouvrages figure Bachir Gemayel ou l’esprit d’un peuple, une anthologie de près de 500 pages à la gloire du président martyr.

Nohad BAROUDI

Ancien secrétaire général du CDR

Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour. Merci de limiter vos textes à un millier de mots ou environ 6 000 caractères, espace compris.

Quand j’étais vice-recteur à l’administration de l’USJ de 1982 à 1990, sous le mandat du recteur Jean Ducruet, un autre grand homme, Sélim Abou, était constamment pris par sa faculté des lettres (dont il était le doyen), ses voyages anthropologiques et ses travaux philosophiques. Mais au fil des années passées au rectorat de l’université, j’appris à apprécier la grandeur...

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