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Nos Lecteurs ont la Parole

Le coût environnemental de la guerre

Le dernier rapport du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC), dévoilé cinq jours après le début du conflit en Ukraine, est désespérant. Il est capital de parler des morts, des blessés, des réfugiés et des souffrances endurées par le peuple ukrainien dans cette guerre fratricide, mais il faudrait aussi parler de ce qu’il en coûtera au chapitre environnemental pour reconstruire les édifices, les infrastructures, etc. Et j’ose à peine imaginer les conséquences d’un bombardement, volontaire ou pas, sur l’une des quatre centrales nucléaires du pays (nous avons vu qu’il s’en est fallu de peu pour que la centrale de Zaporijjia soit touchée). Un Tchernobyl bis.

Tout ça pour satisfaire les rêves de grandeur d’un aspirant tsar et de sa cour de béni-oui-oui. Si Poutine avait pu voir dans une boule de cristal l’état dans lequel seront la planète et son immense Russie dans cent ans, aurait-il envahi sa sœur voisine ? À quoi bon annexer un pays si toute la planète s’en va à vau-l’eau ?

Montréal-Québec

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Le dernier rapport du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC), dévoilé cinq jours après le début du conflit en Ukraine, est désespérant. Il est capital de parler des morts, des blessés, des réfugiés et des souffrances endurées par le peuple ukrainien dans cette guerre fratricide, mais il faudrait aussi parler de ce qu’il en coûtera au chapitre...
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