
Joe Biden, alors vice-président des États-Unis, avec Amos Hochstein, lors d’un sommet énergétique à Washington, en 2015. Photo tirée du compte Flickr du département d’État américain.
Parallèlement au discours du président américain, son émissaire dans la région, Amos Hoschtein, fait miroiter devant le Liban la promesse d’investissements à venir.
OLJ / Par Jeanine JALKH, le 03 juin 2024 à 00h00
Joe Biden, alors vice-président des États-Unis, avec Amos Hochstein, lors d’un sommet énergétique à Washington, en 2015. Photo tirée du compte Flickr du département d’État américain.
"".....le tour du Liban n’arrive, confiait récemment une source diplomatique française à L’Orient-Le Jour. Par conséquent, ils veulent préparer le terrain en amont pour une entente. """" Et M. Berri confiait l'autre jour, qu'il ne croyait pas à une propagation totale du feu au Liban. Qui de l'anonyme diplomate français ou du président de la chambre a raison, se contentant de frappes chirurgicales, ponctuées. "En amont", préparer l'entente entre les belligérants, en passant en pertes et profits tous ces dégâts, ces morts comme si personne n'est redevable,n'a de compte à rendre.C'est "bizzare".
Il n’en sera rien. Ils ne parlent pas la langue de leurs ennemis, en tout cas plus. Ils les mèneront par le bout du nez tant qu’ils continuent à montrer leurs hésitations et leur lâcheté. POINT
Voilà, M. Biden candidat à sa succession contourne le Hezbollah qu'il savait incontournable. On verra si toutes ces promesses sont de circonstance, des promesses électorales. Le "dossier" libanais, qui n'est rien qu'un dossier parmi tant d'autres ne sera de traité de sitôt en priorité. La guerre continue son chemin, et M. Biden s'occupera de sa compagne électorale, et M. Hochstein poursuivra son l'ascension de sa carrière, et qui sait sera promu à un poste plus important. L'urgence de délivrer les Libanais du cauchemar de la guerre, n'est qu'un "dossier" en souffrance, "ça peut attendre".
D’une part , M. Hochstein a proposé un programme économique pour le Liban. D’autre part on se demande comment, va-t-il le faire tout en sachant qui est derrière l’explosion au port de Beyrouth qui constitue le centre névralgique de l’économie du pays . Hoch et son chef se paient notre tête ou pensent que leur QI est supérieur au nôtre .
Que le President Biden va a la vitesse superieure pour ses propres interets ou pas n'est pas la question. La vrai question est ce que les Libanais savent prendre avantage de cette ouverture? Il me semble qu'on ne sais jamais jouer les cartes qui nous sont offertes et que la politique suave n'est pas dans notre ADN.
- A LA VITESSE SUPERIEURE, - IL OUVRE SON OEIL EN PREMIERE. - NON POUR LE LIBAN MILLENAIRE, - POUR SAUVER LE GENOCIDAIRE. - IL EST UNE URGENCE, DERNIERE - CHANCE POUR REMETTRE LA GUERRE, - A UNE PERIODE ULTERIEURE. = - CAR AVEC POUTINE L,AFFAIRE, - DU CONFLIT CHANGE DE MATIERE. - NOUS CRAIGNONS BIEN LA MONETAIRE, - BATAILLE DU DOLLAR AMERE, - MAIS BEAUCOUP PLUS SON NUCLEAIRE, - QUI REMPLIRAIT NOS CIMETIERES, - CHEZ NOUS SONT CONCENTREES LES MASSES, - DANS NOS TRES LIMITES ESPACES, - QUAND DE POUTINE LA PAROISSE, - VA DE L,ARCTIQUE LES ESPACES, - JUSQUES AUX ANTARCTIQUES GLACES.
Durant le W.E. le Premier s’est entrainé à faire quelques pas (en avant/en arrière) entre 2 BARRES PARALLÈLES, le Second à faire des sauts tombe dos sur TRAMPOLINE (il y a du progrès) et le Troisième (de malheur) avec son miroir courbe essaye de nous convaincre NE pas s’inquiéter du risque si le miroir n’est pas « parfaitement LISSE » : une partie de la lumière peut être réfractée ou diffusée ! et alors ? La clarté s’est pour APRES, en AMONT .
Et les barbus avec leurs armes et milices mafieuses deviendront quoi? puisque l’accord ne mentionne même pas l’état Libanais …
Biden n’a toujours pas compris qu’on ne fait pas confiance à israel qui est un agresseur aussi bien à Gaza , au Liban sud et en Syrie.. l’Alaska a besoin d’habitants .. et Natanyahu y serait trés bien
"Une fois la politique et l’économie stabilisées au Liban, la capacité des forces extérieures à influencer le Liban diminuera considérablement". Voilà bien, clairement montrée, la raison pour laquelle, le Hezbollah s’oppose à tout rétablissement de l’ordre politique et économique. Une aide susceptible de redresser l’économie en échange de concessions politiques et sécuritaire, ne le satisferait en rien puisqu’elle irait à l’encontre de ses intérêts. Quant aux autres politiciens, ils ne sont intéressés que dans la mesure où une partie de cette aide irait gonfler leurs comptes aux îles Caïmans.
Aucune paix ne peut se faire avec Benjamin Netanyahu , Yoav Gallant et surtout les extrémistes sionistes. En ce qui concerne le Hezbollah, seule manière de le mettre à l’écart, et même de le désarmer et de lui faire quitter la frontière Sud Liban, est qu’Israël se retire des territoires libanais occupés en 1967.
"".....le tour du Liban n’arrive, confiait récemment une source diplomatique française à L’Orient-Le Jour. Par conséquent, ils veulent préparer le terrain en amont pour une entente. """" Et M. Berri confiait l'autre jour, qu'il ne croyait pas à une propagation totale du feu au Liban. Qui de l'anonyme diplomate français ou du président de la chambre a raison, se contentant de frappes chirurgicales, ponctuées. "En amont", préparer l'entente entre les belligérants, en passant en pertes et profits tous ces dégâts, ces morts comme si personne n'est redevable,n'a de compte à rendre.C'est "bizzare".
16 h 16, le 03 juin 2024