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Nos Lecteurs ont la Parole

Complexe d’Adib et gouvernement de miction

Ce parcours gouvernemental raté, c’était le complexe d’Adib de monsieur Moustapha, tant ce président du Conseil désigné était tiraillé entre son attachement à la mère nourricière et son souci d’assurer un écoulement facile du gouvernement qu’il concoctait. Mais après trois laborieuses semaines, pas un micron des injonctions de Macron. La miction est douloureuse, due à des gravats qui peinaient à traverser les canaux de la raison. Cette incontinence était attendue, eu égard à la lutte d’Adib contre ce qu’on appelle un complexe de castration, ce pénible sentiment d’infériorité et d’impuissance face à l’énormité de la tâche. D’inhibition en inhibition, l’homme a fini par craquer. Les sphincters de la politique ont de ces tours...

(sans offense pour les urologues et les psychiatres)

Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour. Merci de limiter vos textes à un millier de mots ou environ 6 000 caractères, espace compris.

Ce parcours gouvernemental raté, c’était le complexe d’Adib de monsieur Moustapha, tant ce président du Conseil désigné était tiraillé entre son attachement à la mère nourricière et son souci d’assurer un écoulement facile du gouvernement qu’il concoctait. Mais après trois laborieuses semaines, pas un micron des injonctions de Macron. La miction est douloureuse, due à des...

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