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Culture - Récompenses

Prix de la littérature arabe 2020 : sept romans en lice, dont deux libanais

Prix de la littérature arabe 2020 : sept romans en lice, dont deux libanais

Le roman Mauvaises herbes, de la jeune Libanaise Dima Abdallah (Liban), paru aux éditions Sabine Wespieser et L’invité des Médicis de Carole Dagher (Liban), publié aux éditions Philippe Rey font partie de la sélection officielle du Prix de la littérature arabe 2020 fondé et dirigé par la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe. Également en lice, Une baignoire dans le désert du Libano-Palestinien Jadd Hilal (Palestine), aux éditions Elyzad, ainsi que Les Jango (traduit de l’arabe par Xavier Luffin) de Abdelaziz Baraka Sakin (Soudan), publié par Zulma ; La langue maudite de Madi Belem (Maroc), chez Plon ; N’appelle pas, il n’y a personne (traduit de l’arabe par Philippe Vigreux) de Youssef Fadel (Maroc), aux éditions Actes Sud, et Le dernier Syrien de Omar Youssef Souleimane (Syrie), paru chez Flammarion.



La sélection de cette 8e édition « met à l’honneur la grande diversité de la littérature arabe, à travers les romans d’écrivains marocains, syrien, libanais, palestinien et soudanais », indiquent les organisateurs.

Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe. Ce prix (doté de 10 000 €) promeut l’œuvre (roman ou recueil de nouvelles) d’un écrivain ressortissant d’un des pays membres de la Ligue arabe et auteur d’un ouvrage écrit ou traduit en français et publié entre le 1er septembre 2019 et le 31 août 2020.

Le jury se réunira à l’automne sous la présidence de Pierre Leroy, cogérant de Lagardère SCA, pour délibérer et désigner le (ou la) lauréat(e) de la nouvelle édition du Prix de la littérature arabe. Celui-ci sera annoncé et remis à l’Institut du monde arabe (IMA) à l’occasion d’une cérémonie qui se déroulera début novembre 2020, en présence de Jack Lang, président de l’IMA.

Depuis sa création, le Prix de la littérature arabe a été remis à Jabbour Douaihy (Liban) en 2013, à Mohamed al-Fakharany (Égypte) en 2014, à Mohammed Hasan Alwan (Arabie saoudite) en 2015, à Inaam Kachachi (Irak) en 2016, à Sinan Antoon (Irak) en 2017, à Omar Robert Hamilton (Égypte) en 2018 et à Mohammed Abdelnabi (Égypte) en 2019 pour son roman La Chambre de l’araignée (Actes Sud/Sindbad).

Le roman Mauvaises herbes, de la jeune Libanaise Dima Abdallah (Liban), paru aux éditions Sabine Wespieser et L’invité des Médicis de Carole Dagher (Liban), publié aux éditions Philippe Rey font partie de la sélection officielle du Prix de la littérature arabe 2020 fondé et dirigé par la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe. Également en lice, Une baignoire...

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