Rechercher
Rechercher

Liban - Société

Lancement de la 8e édition du concours « Femme francophone entrepreneure »

L’édition 2019 du concours « Femme francophone entrepreneure » (FFE) a été lancée mercredi dernier, 15 mai, sous le patronage de la ministre d’État pour l’insertion socio-économique des jeunes et de la femme, Violette Khairallah. Ce concours est organisé par l’Agence universitaire francophone (AUF) au Moyen-Orient et Berytech, en partenariat avec L’Orient-Le Jour et le Commerce du Levant. Il bénéficie du partenariat stratégique de la SGBL et du partenariat communautaire de la LLWB (Ligue libanaise des femmes d’affaires). Depuis 8 ans, il favorise l’entrepreneuriat féminin au Liban.

Chaque année, une subvention de 20 000 euros est offerte aux projets les plus prometteurs. Les lauréates bénéficient de l’accompagnement nécessaire à la création d’entreprise et du soutien à une jeune entreprise jeune dans l’incubateur de Berytech. L’Orient-Le Jour et Le Commerce du Levant sont partenaires du concours depuis 2016 afin de lui assurer la plus grande visibilité possible.

Cette nouvelle édition récompensera deux projets de création d’entreprise. L’appel à candidatures a été lancé le 15 mai sur les sites institutionnels et les réseaux sociaux des partenaires.

Rappelons que 90 candidatures ont été reçues en 2018, ce qui démontre l’attractivité de ce concours francophone, pionnier au Liban. Maya Bacha, cofondatrice de Sidelick, un service innovant de garde d’animaux de compagnie, et Marielle Khayat, cofondatrice de Koullouna, société qui expédie à des expatriés et amateurs du Liban des colis contenant des produits de leur pays d’origine, ont été sacrées lauréates de l’édition 2018 et bénéficient actuellement de l’accompagnement nécessaire au développement de leur entreprise.


Le calendrier

La compétition se déroulera en quatre étapes :

• La phase de la 1re candidature en ligne : dépôt d’un prédossier de candidature. Date limite : 20 juin 2019. Les résultats, avec les noms des 25 candidates, seront annoncés le 28 juin 2019.

• La phase de formation : quatre journées de formation ouvertes aux 25 candidates présélectionnées en juillet 2019 : les lundis 1er, 8, 15 et 22 juillet de 16h à 18h à Berytech, secteur du Musée, au 10e étage.

• La phase de la 2e candidature en ligne : dépôt du dossier complet avec un business plan avant le 16 août 2019. Le 30 août, 10 candidates demi-finalistes seront annoncées et suivront une formation intensive sur leur pitch. Un comité de représentants de la direction régionale Moyen-Orient de l’AUF, de Berytech, de L’Orient-Le Jour et du Commerce du Levant ainsi que de la SGBL évaluera les pitchs et sélectionnera cinq candidates finalistes le 17 septembre.

• Pitch final : les cinq finalistes défendront leur projet devant les membres du jury et le public le 25 septembre. Les deux lauréates seront annoncées le même jour.

Pour candidater : competitions.berytech.org/ffe

Tous renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de : support@berytech.org.



Pour mémoire

Sidelick et Koullouna, lauréats du prix Femme francophone entrepreneure 2018

Concours FFE : des start-up « à solution » primées

Compétition FFE : 25 candidates toujours en lice

Les femmes francophones à l’assaut de l’entrepreneuriat

L’édition 2019 du concours « Femme francophone entrepreneure » (FFE) a été lancée mercredi dernier, 15 mai, sous le patronage de la ministre d’État pour l’insertion socio-économique des jeunes et de la femme, Violette Khairallah. Ce concours est organisé par l’Agence universitaire francophone (AUF) au Moyen-Orient et Berytech, en partenariat avec L’Orient-Le Jour et...

commentaires (1)

Aucune objection à ce concours, au contraire. Par contre, je trouve regrettable que l’Agence universitaire FRANCOPHONE ne s'exprime pas en français, ce qui est tout de même un comble! Le mot "entrepreneure" est inconnu du dictionnaire académique et constitue un affreux barbarisme. Si l'on tient absolument à féminiser le mot "entrepreneur" (ce qui, d'ailleurs, n'est nullement indispensable), il faudrait dire, pour respecter les règles de la morphologie, "entrepreneuse".

Yves Prevost

07 h 36, le 18 mai 2019

Tous les commentaires

Commentaires (1)

  • Aucune objection à ce concours, au contraire. Par contre, je trouve regrettable que l’Agence universitaire FRANCOPHONE ne s'exprime pas en français, ce qui est tout de même un comble! Le mot "entrepreneure" est inconnu du dictionnaire académique et constitue un affreux barbarisme. Si l'on tient absolument à féminiser le mot "entrepreneur" (ce qui, d'ailleurs, n'est nullement indispensable), il faudrait dire, pour respecter les règles de la morphologie, "entrepreneuse".

    Yves Prevost

    07 h 36, le 18 mai 2019

Retour en haut