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Lifestyle - Quelqu’un m’a dit...

Dans un monde où les médias nous rappellent que rien ne va, reste la nightlife at Beirut !

De gauche à droite, Rami Boutros, Yasmina Moukarzel Giordano et Salwa Chalhoub.


Roberto Begnini aurait apprécié…


Rami Boutros avait promis à ses invités une nuit festive. Il a fini par casser la baraque ! Organisée au restaurant La Parilla, sur le thème « S’amuser dans la vie, c’est ça ce qui compte », sa soirée mérite d’être marquée d’une pierre blanche. Dans la salle, pleine à craquer, l’ambiance était survoltée. Les convives, dans leurs plus beaux atours, ondulaient aux rythmes de 18 musiciens et chanteurs du groupe 8e Art, dont la pop rockeuse Marlyn, le luthier Kanj, le pianiste Fadi Abi Saad, le cithariste Raëd, et Yasmina chantant l’Orient andalou. Mais aussi, le groupe Iyam el-Lira, interprétant les succès classiques arabes sur une musique contemporaine, sans oublier la performance de l’incontournable Belly Dancer Randa Makhoul, qui dès les premières secondes de sa performance a mis sens dessus-dessous les lieux.
Et personne n’a boudé son plaisir devant le bar énorme, qui offrait une panoplie de boissons pour irriguer généreusement les veines. Pour le reste du spectacle, un menu sophistiqué, voire recherché et digne d’une étoile Michelin, selon les convives, a été concocté par Yasmina Hayek, récemment diplômée de l’école Paul Bocuse. Le chef de La Parilla n’a pas pour autant chômé. Il a préparé cinq gâteaux. Un spécial pour Yasmina afin de la remercier pour son menu. Deux autres pour célébrer les anniversaires de Lilia Sabbagh et Raya Nawbar. Un troisième pour féliciter Léa et John Mac Mahon pour la naissance de leur fils Anthony ; et le dernier pour congratuler les nouveaux mariés : Yasmina Moukarzel et John Giordano. Leur mariage a eu lieu à l’opéra de Philadelphia en septembre dernier.
Parmi les invités, René el-Amm, Ghina et Farès Smadi, Dania et Fadel Ghandour, Lina et Zaher Chatila, Élie Saab junior, Lynn Zeidane, Ralph et Myra Massoud, Tamara Kassar et Rami Tabbara, Fouad et Nour Farra, Mazen et Dima Bizri, Bernard et Diana Tannoury, Joey et Léa Ayoub, Dana el-Khazen, Salwa Chalhoub, Alecco Safa, Jad Karam, Raja et Loula Saab, Tony et Nadia Moukarzel, Jeff et Léa Mac Mahon, Joanna Tajeddine, Samar Khayat, cheikha Mariam Nasser al-Sabah, Andrée Rabat, Tania et Joe Issa el-Khoury.


(Lire aussi : On se la coule douce entre Paris, Gstaad et Beyrouth)



Danser, c’est fun !


DJette Câline a su dès les premières secondes transmettre toute sa passion et sa folie des platines à Rami Boutros, Aline Nassar, Zeina et Toufic Aouad ont investi la piste sans presque plus la quitter de la soirée. Même notre Bob national (Bob Wehbé) a succombé aux rythmes des goldies oldies entraînant avec lui Mia Ayoub et Myriam Antaki. C’est dans cette ambiance joviale, festive et chaleureuse, sans bling bling ni fioritures, que la centaine d’invités du jetsetteur Cyril Karaoglan s’est retrouvée au restaurant Liza. Parmi eux, Nabil et Zoé Debs, Georges et Carole Choucair, Samir et Nathalie Beydoun, Youssef et Hala Abillama, Nabil et Lynn Kassar, Anthony et Chadia Naoum, Patrick Boustany, Ralph Massoud, Jad et Alexandra Karam, Joe Saïkali, Carlo Ayoub, René el-Amm, Karen Chekerjian, Paul et Manal Khodr, et Gala Baroudi.
D’une élégance folle étaient Michèle Gharzouzi, Shérine Tayeb et Hala Saddi ! Nada el-Assaad (en Dries Van Notten) et Marianne Hélou étaient en solo, leurs maris étant absorbés par la campagne des législatives.
Marie-Claude Trad et Mia Bassoul, sans leur grande amie Danièle de Picciotto qui s’est envolée pour un safari en Afrique du Sud.
Nayla Audi a débarqué accompagnée d’amis français, dont Alexandre-Camille Removille, directeur de la communication et des projets spéciaux du Bureau Betak (agence qui produit des événements d’art et de luxe, et conçoit des défilés de mode-spectacles) ; la collectionneuse Cathy Vedovi, épouse du marchand d’art belge Paolo Vedovi, et Matthieu Humery, expert chez Christie’s.
 Présents également, Rami Ghandour et Vera Brahimcha, Elham et Zeina Raphaël, Anthony et Raya Nahas, Aline Nassar, Ghada Faloughi, Névine Imad, Raya et Rachad Dernaïka, Joëlle Kharrat, Joumana Asseily.


(Lire aussi : Quand les grands de ce monde achètent une toile de Nabil Nahas)




Mélancolie heureuse


À l’invitation de Roula Noujeim directrice de la communication de l’hôtel Le Crillon (et fille de Abla Lahoud), Lamia Ziadé a signé son dernier ouvrage, Ma très grande mélancolie arabe, dans le célèbre palace parisien, propriété du prince saoudien Mit’eb ben Abdallah ben Abdel Aziz al-Saoud, ancien chef de la garde royale.
En présence de son éditeur Jean-Paul Hirsh et du directeur général du Crillon Marc Raffray, la lauréate du Prix France-Liban 2017 a dédicacé tout aussi bien son nouveau livre que le précédent Ô nuit, ô mes yeux, paru en 2015. Parmi l’assistance, Véronique Rieffel, commissaire de l’exposition Al Musica à la Philharmonie de Paris et auteur de l’essai Islamania, de l’Alhambra à la burqa, histoire d’une fascination artistique ; l’épouse de l’ancien ambassadeur de France à Beyrouth Maya Siblini Parant, qui depuis le retour de son mari au Quai d’Orsay est revenue à France 24 en tant que rédactrice en chef du journal télévisé ; le directeur de l’Office du tourisme du Liban à Paris, Serge Akl ; la journaliste chargée de mission à l’Unesco Alya Chehab ; l’artiste photographe-vidéaste franco-libanais Nadim Asfar, et Rabih Kayrouz qui est passé en coup de vent, tout pressé qu’il était de rejoindre un plateau de télé.


(Lire aussi : Des nanas mégacanons armées en boîte de nuit)




L’OMG du président !


« Oh my God ! Incredible ! » aurait dit Fadlo Khoury, président de l’Université américaine de Beyrouth. La nouvelle génération veut conquérir la planète, travailler à Silicon Valley, être bardée de diplômes, mais ne s’intéresse pas à son histoire. M. Khoury est en effet très désappointé de voir combien d’étudiants, qui suivent un cursus complet, n’ont jamais franchi la porte du musée archéologique de l’AUB situé dans leur campus ! Alors, dans une lettre adressée à ces jeunes accros des écrans, il annonce qu’une visite virtuelle à 360 degrés leur permet d’inspecter les trésors via un smartphone ou un ordinateur de bureau. Allez les gars, bien connaître son passé, c’est mieux préparer son avenir. Le président informe également qu’à l’initiative de Leila Badr, directrice de ce temple de l’archéologie, qui célèbre ses 150 ans, le point culminant de l’année académique sera le colloque qui réunira, vers la fin du mois de mai, spécialistes et chefs des grands musées du monde, comme le Metropolitan, le British Museum, le Louvre, le Pergame (Berlin), le Musée archéologique de la Ville de Bruxelles, d’Athènes, d’Istanbul et du Caire. Qui dit mieux !


ditavonbliss@hotmail.com



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OLJ

16 h 52, le 22 septembre 2021

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  • OLJ

    16 h 52, le 22 septembre 2021

  • OLJ

    16 h 52, le 22 septembre 2021

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