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Lifestyle - Quelqu’un m’a dit…

Des nanas mégacanons armées en boîte de nuit

La cofondatrice de Skoun Sara Trad en compagnie de Mama Brown et Mohammad Idriss.

Les goldfingers de… Skoun
En lançant sa soirée, au 01ONE, sur le thème « James Bond 007 », le dîner annuel de l’association Skoun s’annonçait d’ores et déjà comme le grand rendez-vous.
L’immersion dans l’univers de l’espion le plus célèbre du monde a permis à nos dames de jouer aux James Bond girls, belles, rebelles et fatales. Toutefois, aucune d’elles n’a osé le mythique bikini ceinturé d’un poignard, porté par Ursula Andress dans James Bond contre Dr No !
Mais on pouvait voir des nanas mégacanons incarnant ces Bond girls, le temps d’une soirée. Dans leur robe à paillettes, effet très glam, Anna Choucair et Maha el-Shair pointaient leur pistolet, un jouet, contrairement au gros calibre, un vrai de vrai, de Liza Abou Adal, sulfureuse en robe cuir noir. L’architecte Tessa Sakhy, qui dévoilait un décolleté vertigineux partant des épaules jusqu’à la naissance des fesses, s’est fait tatouer le dos de lettres chinoises, qu’il était impossible à décrypter. Et Only for your eyes, Michèle de Freige s’était drapée dans un imper doré, et India Abdeni, dans un superbe smoking couture. Super in, entièrement gold et scintillants étaient Mama Brown et le décorateur Mohammad Idrissi.

En effet, les hommes n’étaient pas en reste. En guise de clin d’œil au borgne et méchant Dr Julius No, Khaled Tayyara arborait un bandeau noir à l’œil gauche ; alors que d’autres avaient misé sur le look tuxedo, notamment le directeur du ministère de l’Éducation Fadi Yarak, Michel Moawad, Georges Achkar (smoking blanc), et Rami Boutros qui a rehaussé son veston d’une broche bijou. Plus rock’n’roll était le tuxedo pailleté du Master of Ceremony Raymond Béchara.
Un brin machos, bien d’autres encore, exhibaient leur flingue, leur Rolex Submariner et trinquaient au dry Martini. Bref, l’agent 007 était démultiplié à l’infini !
Animé par la chanteuse libanaise Blu Fiefer habillée pour l’occasion par Élie Saab, l’événement a été organisé par Caractère (Alain Hadifé et Danielle Mallat) qui a magnifiquement décoré les lieux. Par leur présence, plus de 500 invités ont réaffirmé leur soutien aux activités de l’association Skoun, centre libanais spécialisé dans les addictions et la prévention contre la drogue, fondé en 2003 par Nadia Mikdachi et Sarah Trad.

Parmi les convives, le ministre de la Santé Ghassan Hasbani et son épouse Nadine (en minirobe rouge brodée), la chef de la Délégation de l’Union européenne Christina Lassen et son mari Abdo Abi Najem, l’épouse de l’ambassadeur du Royaume-Uni Laura Shorter, May Daouk, Lena et Tony Fadel, Cherine Tayeb, Khalil et Misou Kharrat, Lina Cortas, Joe et Hala Saddi, Ramzi et Nour Haddad, Maria Ousseimi, Nabil Kassar, Marc et Câline Tabourian. Dans l’assistance également, Nagib et Antonia Tabbah, May el-Khalil, Joumana Yarak, Carlos et Nada Abou Jaoudé, Mia Bassoul, Carole Ghosn, Fadel et Dania Ghandour, Mariana et Raëd Bassatne, Chafic et Dana el-Khazen, Jacques et Siham Sehnaoui, Bernadette et Dr Sleiman Merhej, Karine et Bernard Saghbini, Wafa Saab, Tanya Salem, Hazem Farra, Danielle de Piciotto, Carma Andraos (magnifique en jupe frou-frou) et Patrick Boustani, pour ne citer que quelques-uns. Sara était particulièrement touchée par la présence de sa tante Tania Arab et des amis de sa mère, feue Danièle Trad, comme Dave et Maya Corm, Andrée Tayar, Josette Tamer et Andrée Riachi.

Au cours de la soirée, Nadia Mikdachi et Sara Trad ont annoncé l’ouverture d’un nouveau centre de traitement à l’hôpital gouvernemental Rafic Hariri de Beyrouth en collaboration avec le ministère de la Santé publique. « Une étape importante qui nous permet d’offrir nos services à un plus grand nombre de patients », ont-elles affirmé. Skoun a traité 560 patients en 2017, contre 430 en 2015, tout en organisant des campagnes de sensibilisation auprès de 7 825 jeunes et en formant 180 enseignants et autres professionnels de l’éducation dans 61 écoles à travers le Liban. La collecte de fonds au cours des soirées de gala annuelle couvre 35 % du budget annuel de Skoun.

Le mobilier design a une nouvelle adresse parisienne
Après trente années dans le marché de l’art ancien, au Louvre des Antiquaires et au 7 Quai Voltaire, où il expose meubles, sculptures, tableaux et objets d’art italien des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, Charles Sakr se lance dans la création de meubles contemporains. Sa troisième enseigne, il l’a plantée au 39 avenue Pierre 1er de Serbie : la Mettlesome Design. L’espace résolument moderne est consacré à des pièces d’exception et d’objets de décoration inédits, créés dans ses ateliers à Paris et réalisés dans des matériaux nobles, comme le bronze, le marbre et les bois rares. Issu de l’anglais, Mettlesome signifie « ardent ». Un terme qui illustre à merveille sa nouvelle passion.
Ils étaient nombreux à se presser à l’inauguration de cette nouvelle adresse parisienne, pour féliciter Charles et Katia Sakr, notamment Taha Mikati, Élie et Claudine Saab, Nazek Hariri, Gilbert et Marie-Rose Chagoury, Hala Farès, Maha Debs, Nada Salamé, Inaya Hammour, Henri Sarkissian et son épouse, Rolly André Kamel, Pierre et Yasmine Kamel, Souhair et Nizar Assaad, Mizou Kharrat, Rima et Issam Kronfol, Lina et Hassan Chaker, Roula et Jamal Itani, et évidemment les enfants de Charles et Katia, Raphaël et Michaël Sakr. Présents également, la créatrice de mode Barbara Bui et son frère le célèbre chirurgien plasticien Patrick Bui, ainsi que la chanteuse québécoise Isabelle Boulay, inoubliable dans le rôle de Marie-Jeanne dans l’opéra-rock Starmania, de Luc Plamondo, et dont l’album Mieux qu’ici-bas a été certifié diamant par la SNEP. Elle a fait une apparition remarquée sous les flashs de l’artiste photographe Ammar Abed Rabbo.

Magic City…
Une visite de trois jours au pas de course pour le président allemand Frank-Walter Steinmeier. Outre ses rencontres avec le président Michel Aoun, le chef du législatif Nabih Berry, le Premier ministre Saad Hariri et les représentants des communautés religieuses, lui et son épouse Elke Büdenbender ont tenu à visiter la galerie de leur amie Andrée Sfeir Semler, à la Quarantaine. Ils ont pris le temps d’admirer le travail de l’artiste palestinien Khalil Rabah, ainsi que les dessins et la maquette de Bernard Khoury, réalisés pour le futur musée d’Art contemporain de Beyrouth mais qui n’ont pas été retenus par le jury, et que Semler garde précieusement dans son espace. Le couple présidentiel, qui était accompagné du ministre de la Culture Ghattas Khoury, de l’ambassadeur d’Allemagne Martin Huth et du directeur du Gothe Institut Mani Pournaghi, a été reçu par nombre d’artistes et d’amis de la galerie, dont Akram Zaatari, Nayla de Freige, Nayla Kettaneh, Rami el-Nemr, Rita Nammour, Mari-Claude Souaïd.

Le lendemain, lors de la réception offerte au palais Linda Sursock par l’ambassadeur d’Allemagne, les Steinmeier ont eu droit à un bain de foule très VIP. Ministres, députés, et personnalités du monde politique, économique et social étaient là, notamment le Premier ministre, les ex-présidents Amine Gemayel (avec son épouse Joyce) et Michel Sleiman, Walid et Nora Joumblatt, Fouad Siniora, Mohammad Safadi, Rony Araïji, Mona Hraoui, l’ambassadrice des États-Unis Elizabeth Richard, l’ambassadeur de France Bruno Faucher, l’homme d’affaires Nabil Kettaneh, etc.
À la fin du cocktail, le couple allemand a rejoint Tammam et Lama Salam, à leur résidence à Mousseitbé pour un dîner en très petit comité.


PS : Magic City Beyrouth ! Le soir de la réception, la rue Sursock, vrai coupe-gorge plongé dans le noir depuis Mathusalem, était tout illuminée. Le lendemain, elle était à nouveau noyée dans le noir ! Bravo la municipalité de Beyrouth…

ditavonbliss@hotmail.com

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