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Liban - Législatives

Législatives : le courant du Futur dément avoir formé des alliances quadripartites ou autres

Le bloc parlementaire du Futur a tenu hier sa réunion périodique sous la présidence du chef du parti, le Premier ministre Saad Hariri, pour passer en revue une série de questions d'actualité, notamment les préparatifs des législatives et la récente interview télévisée du secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, qui avait situé le Liban dans l'axe régional de la résistance et qui s'était étendu sur des scénarios de guerre avec Israël.
Concernant les législatives, le bloc a démenti, dans son communiqué dont lecture a été donnée par le député Ammar Houri, les alliances qui lui sont attribuées. « Les candidatures et les alliances électorales font toujours l'objet d'un examen minutieux, et les contacts que commande la prochaine consultation électorale sont aussi en cours », souligne le communiqué qui précise : « Les propos relatifs à des alliances quadripartites, ou encore entre cinq ou six partis doivent être situés dans le seul cadre de l'interprétation et du parasitage. Ils n'ont pas leur place dans le langage du courant du Futur et de son bloc ».
Le bloc a ensuite critiqué vivement le discours tenu par le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, lors de l'interview qu'il a accordée la semaine dernière à la chaîne de télévision al-Mayadine, mais sans le nommer. Hassan Nasrallah avait réaffirmé en substance – entre autres – que des milliers de combattants de plusieurs nationalités étaient prêts à venir au Liban pour soutenir son parti en cas de guerre avec Israël, après avoir indiqué que le Liban fait partie de l'axe de la résistance composé aussi de l'Iran, de la Syrie, du Yémen et de la Palestine. « La décision de guerre et de paix est éminemment souveraine et relève exclusivement de l'État et de ses institutions constitutionnelles », précise le bloc dans son communiqué, en insistant sur le fait que « les orientations qui vont à l'encontre de cette logique ou qui font appel à une intervention étrangère dans une affaire nationale et souveraine ne bénéficient d'aucune couverture constitutionnelle et encore moins d'un consensus national ».

Le bloc parlementaire du Futur a tenu hier sa réunion périodique sous la présidence du chef du parti, le Premier ministre Saad Hariri, pour passer en revue une série de questions d'actualité, notamment les préparatifs des législatives et la récente interview télévisée du secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, qui avait situé le Liban dans l'axe régional de la...

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