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Moyen Orient et Monde - Grande-Bretagne

May face aux indépendantistes écossais et à une crise en Irlande du Nord

La Première ministre britannique a rencontré la chef du gouvernement écossais, Nicola Sturgeon, pour la première fois en tête à tête depuis que cette dernière a annoncé, il y a deux semaines, son intention de réclamer un nouveau référendum d’autodétermination pour la fin 2018 ou le début 2019. Russell Cheyne/Pool/AFP

À deux jours du lancement du Brexit, la Première ministre britannique Theresa May s'est rendue hier en Écosse pour répéter que ce n'était « pas le bon moment » pour réclamer l'indépendance. « Au moment de commencer les négociations pour quitter l'Union européenne, nous devrions nous rassembler plutôt que de nous diviser », a souligné Mme May. La Première ministre britannique a rencontré la chef du gouvernement écossais, Nicola Sturgeon, pour la première fois en tête à tête depuis que cette dernière a annoncé, il y a deux semaines, son intention de réclamer un nouveau référendum d'autodétermination pour la fin 2018 ou le début 2019. Faisant état d'une « rencontre cordiale » avec Theresa May, la dirigeante écossaise a indiqué que le tête-à-tête n'avait permis aucune avancée notable. Elle a ajouté n'avoir reçu aucune proposition de transfert de nouveaux pouvoirs vers Édimbourg pour tenter de la convaincre de renoncer à son projet de référendum.
Londres va activer demain l'article 50 du traité de Lisbonne qui lancera officiellement le processus de sortie de l'UE, neuf mois après le référendum du 23 juin 2016 où les Britanniques ont voté à près de 52 % pour quitter l'Union. Theresa May est face à un autre casse-tête en Irlande du Nord, où les républicains du Sinn Féin et les unionistes du DUP ont échoué à trouver un accord sur une coalition gouvernementale. Le ministre britannique chargé de l'Irlande du Nord, James Brokenshire, a enjoint aux différentes parties de poursuivre leurs négociations. « Il y a une petite fenêtre de tir de quelques courtes semaines », a-t-il dit, laissant ainsi une dernière chance aux deux partis avant de décréter un retour au « direct rule », l'administration de la province directement depuis Londres.
(Source : AFP)

À deux jours du lancement du Brexit, la Première ministre britannique Theresa May s'est rendue hier en Écosse pour répéter que ce n'était « pas le bon moment » pour réclamer l'indépendance. « Au moment de commencer les négociations pour quitter l'Union européenne, nous devrions nous rassembler plutôt que de nous diviser », a souligné Mme May. La Première ministre britannique...

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L'Orient-le Jour n;est pas en cause dans cet article, puisqu'il s'agit d'une reproduction d'une dépêche de l'AFP. Cependant, je suis toujours agacé de voir massacrer la grammaire comme dans la phrase: "La Première ministre britannique a rencontré la chef du gouvernement écossais". Les mots "ministre" et "chef" sont exclusivement masculins. Combien de fois, l'Académie Française devra-t-elle répéter qu'en français, le genre grammatical d'un nom n'est pas nécessairement lié au sexe? Une chouette et une souris peuvent être mâle ou femelle. Une "sentinelle", une "victime" et un "témoin" peuvent désigner aussi bien un homme qu'une femme. Il s'agit là de grammaire et uniquement de grammaire. Les idéologies féministes n'ont pas à y mettre leur grain de sel!

Yves Prevost

07 h 18, le 28 mars 2017

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Commentaires (1)

  • L'Orient-le Jour n;est pas en cause dans cet article, puisqu'il s'agit d'une reproduction d'une dépêche de l'AFP. Cependant, je suis toujours agacé de voir massacrer la grammaire comme dans la phrase: "La Première ministre britannique a rencontré la chef du gouvernement écossais". Les mots "ministre" et "chef" sont exclusivement masculins. Combien de fois, l'Académie Française devra-t-elle répéter qu'en français, le genre grammatical d'un nom n'est pas nécessairement lié au sexe? Une chouette et une souris peuvent être mâle ou femelle. Une "sentinelle", une "victime" et un "témoin" peuvent désigner aussi bien un homme qu'une femme. Il s'agit là de grammaire et uniquement de grammaire. Les idéologies féministes n'ont pas à y mettre leur grain de sel!

    Yves Prevost

    07 h 18, le 28 mars 2017

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