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Nos Lecteurs ont la Parole

Lettre ouverte à Gebran Bassil, ministre des Affaires étrangères

Nous avons appris par les médias que le ministre libanais des Affaires étrangères, M. Gebran Bassil, travaille sérieusement à unifier l'Union culturelle libanaise mondiale, un mouvement que nous appuyons fermement et que nous espérons voir réussir. Nous avons également appris, à travers les médias, que des représentants des trois fractions de la WLCU se sont rencontrés et se sont réunis pour discuter de l'unification. Comme nous ne connaissons pas le procès-verbal de ces réunions, nous (anciens et actuels fonctionnaires de l'ULCM) aimerions attirer l'attention de tous sur une question très grave qui nous préoccupe, à savoir l'utilisation de « l'article 12 » qui a divisé l'ULCM. Conséquence: le ministre libanais de l'Immigration a dissous l'ULCM et dissous également ses branches (décret 1 et 2 ).
Avec la disparition du ministère de l'Immigration, cet article est désormais du ressort du département des expatriés libanais dirigé par M. Haitham Joumaa. L'article 12 confère au gouvernement libanais le pouvoir de contrôler l'ULCM ; donc ce pouvoir est entre les mains de M. Joumaa, ou la personne qui dirige le département des expatriés au sein du gouvernement libanais qui, en fait, contrôle l'ULCM. L'article 12 confère également à cet administrateur le droit de refuser tout fonctionnaire du ULCM, ou de désigner le fonctionnaire de son choix. L'article 12, s'il est adopté, contredit la constitution de la WLCU en la transformant en organisation gouvernementale et met en péril son association avec les Nations unies.
Nous exhortons le ministre Bassil à prendre en considération cette question très sérieuse, car c'est le problème principal, sinon le seul obstacle qui s'oppose à l'unification. Après l'élection du général Aoun à la présidence et après la formation du nouveau gouvernement Hariri, nous demandons l'abolition de l'article 12. Nous terminons en rappelant à tous que nous soutenons pleinement l'unité de la WLCU, mais avec une indépendance totale et strictement non gouvernementale, non politique, non sectaire, mais qui entretient de bonnes relations avec le gouvernement libanais.

Najah KAFROUNI, avocate, Venezuela; Dr Antoine BOU ABBOUD, France; Dr Fernando HÉLOU, Colombie; Farid MAKAREM, USA; Georges EL-MURR, Canada; Dr Anis KARAM, USA; Antoine GHANEM, Australie; Mohammad AL-CHOUM, USA; Amine HARB, ingénieur, USA; Dr Nicolas Naklé KAHWAGI, Canada; Chakib RAMMAL, Afrique; Dr Alain Michel AYACHE, Canada; Georges FADDOUL, ingénieur, USA; Bassam DAGHER, Canada; Ibramim ÉLIAS, Canada; Carlo RAHHAL, Canada; Michel ASSAF, Venezuela; Jean BADR, Canada; Jamal ZARIFÉ, Canada; Michel MURR, Canada.

Nous avons appris par les médias que le ministre libanais des Affaires étrangères, M. Gebran Bassil, travaille sérieusement à unifier l'Union culturelle libanaise mondiale, un mouvement que nous appuyons fermement et que nous espérons voir réussir. Nous avons également appris, à travers les médias, que des représentants des trois fractions de la WLCU se sont rencontrés et se sont...

commentaires (2)

Sans aller jusqu'à des appréciations désagréables à propos d’un béSSîîîl en fait très indigène et local, on peut cependant inférer qu'il n’est pas de ces "penseurs" libanais(h) qui permettent aux colporteurs émigrés de ce bled-pays d'aller aux sources de leur montagnarde société, de leur campagnarde civilisation, ou de nourrir sa réflexion à lui sur les grandes tendances de ce kottôr "fertile". Et de s'émerveiller, sans doute, devant les "lumières" de leurs syllogismes. Faut cesser de se gausser ; yéééënéh ; même s'il plaît de rire de tout, y compris d’un béSSîîl. Abordons le sérieux de la chose, please ! On sait, surely, que ce qui peut arriver de mieux à cette conTrée, du moins pour ceux qui prônent sa pérennité, est que le rôle de ce béSSîîîl soit réduit à sa plus simple expression. Pour être indispensable, il lui faut demeurer, tel quel, "a-responsable" ce béSSîîîl donc-là ! C’est une condition sine qua non. Fasse le ciel, dès lors mahééék, que son influence persiste dans une "non-envergure" nouvelle pareille, pour qu'on soit really persuadé de ne point lui attribuer toute once d’influence superflue. La situation deviendrait intenable sinon, car il est exclu désormais d’établir des dérogations juste pour son simple conFort à ce béSSîîîl. Quitte à ce que son résidu "d’influence" le soit only dans l'ombre…. Peu leur chaut aux Sains libanais s’il faudra la limiter à ces souhaits Niais qui, on ne sait trop wâââïy, ne cessent de devoir être still déclamées !

ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

14 h 34, le 24 janvier 2017

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Commentaires (2)

  • Sans aller jusqu'à des appréciations désagréables à propos d’un béSSîîîl en fait très indigène et local, on peut cependant inférer qu'il n’est pas de ces "penseurs" libanais(h) qui permettent aux colporteurs émigrés de ce bled-pays d'aller aux sources de leur montagnarde société, de leur campagnarde civilisation, ou de nourrir sa réflexion à lui sur les grandes tendances de ce kottôr "fertile". Et de s'émerveiller, sans doute, devant les "lumières" de leurs syllogismes. Faut cesser de se gausser ; yéééënéh ; même s'il plaît de rire de tout, y compris d’un béSSîîl. Abordons le sérieux de la chose, please ! On sait, surely, que ce qui peut arriver de mieux à cette conTrée, du moins pour ceux qui prônent sa pérennité, est que le rôle de ce béSSîîîl soit réduit à sa plus simple expression. Pour être indispensable, il lui faut demeurer, tel quel, "a-responsable" ce béSSîîîl donc-là ! C’est une condition sine qua non. Fasse le ciel, dès lors mahééék, que son influence persiste dans une "non-envergure" nouvelle pareille, pour qu'on soit really persuadé de ne point lui attribuer toute once d’influence superflue. La situation deviendrait intenable sinon, car il est exclu désormais d’établir des dérogations juste pour son simple conFort à ce béSSîîîl. Quitte à ce que son résidu "d’influence" le soit only dans l'ombre…. Peu leur chaut aux Sains libanais s’il faudra la limiter à ces souhaits Niais qui, on ne sait trop wâââïy, ne cessent de devoir être still déclamées !

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    14 h 34, le 24 janvier 2017

  • Juste pour information. Une conférence se fera du 2 au 4 février à Johannesbourg par la Lebanese Diaspora Energy sous la présidence de MR le Ministre des affaires étrangères. Une initiative saluée par tous les hommes d'affaires libanais d'Afrique du Sud-Est . Nous serons quelques 300 à 400 invités pour débattre de notre relation avec l'Afrique en général et voir si de la synergie des actions pourront éclore des dossiers avantageux pour notre pays d'origine.

    FRIK-A-FRAK

    13 h 30, le 24 janvier 2017

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