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Beyrouth, paroles d'anciens : Les Jésuites nous interdisaient de voir certains films...

Ibrahim Tabet raconte le centre-ville de Beyrouth, au temps des glaces maison, des cinémas Empire et Métropole.

Ils ont connu le tramway, le train et les piastres. Les cafés qui portaient un nom unique, bien avant qu'ils ne deviennent un maillon d'une grande chaîne clonée. Ils ont connu le temps où des salades poussaient à Beyrouth, et où la police sanctionnait celui dont le climatiseur goutait sur le trottoir.

Quelques semaines durant, nous allons vous proposer une rencontre, en images, avec un ancien de Beyrouth. Une remontée dans le temps et ses souvenirs, comme une parenthèse.

Aujourd'hui, Ibrahim Tabet raconte le centre-ville de Beyrouth, au temps des glaces maison, des cinémas Empire et Métropole...

 

 

 

Dans la même série Beyrouth, paroles d'anciens :

"On payait quelques piastres pour aller regarder la télé chez un voisin" Myriam Mohammad Cherkiye raconte l'ancien temps à Bourj el-Barajneh.

"Je pêchais 5kg de poisson par jour, aujourd'hui, à peine un demi kilo".Mohammad, Yahya, Hassan et Ibrahim à Aïn el-Mreisseh.

"Si une voisine cuisinait, elle partageait avec tout le monde" Abou Wafik, Abou Ahmad et Ali Haidar à Basta.

"On sortait jusqu'à minuit, Centrale, Sevan, Karmani, Court Royal..." Georgette et Samira à Bourj Hammoud.

"Le restaurant Faisal, en face de l'AUB, est maintenant un McDonald's", Edmond Tohmé, à Hamra.

"On payait cinq piastres pour aller au centre-ville," Edward Khatchérian, à Gemmayzé

Ils ont connu le tramway, le train et les piastres. Les cafés qui portaient un nom unique, bien avant qu'ils ne deviennent un maillon d'une grande chaîne clonée. Ils ont connu le temps où des salades poussaient à Beyrouth, et où la police sanctionnait celui dont le climatiseur goutait sur le trottoir.
Quelques semaines durant, nous allons vous proposer une rencontre, en images, avec un...

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